Vendredi soir alors que Saint-Étienne croulait sous la neige j'ai quand même sorti le nez de chez moi, pour aller à l'opéra Théâtre.
C'est le ballet du grand théâtre de Genève sous la houlette de Michel Kelemenis qui officiait !
Je ne m'attendais pas à un spectacle de danse uniquement et je ne connaissais pas vraiment la pièce pourtant très célèbre, de Shakespeare.
Je ne m'attendais pas à un spectacle de danse uniquement et je ne connaissais pas vraiment la pièce pourtant très célèbre, de Shakespeare.
Qu'à cela ne tienne, toujours curieuse je répondais à cette sympathique invitation et je suis rentrée avec plaisir dans le tourbillon des pas de danses de ce spectacle.
Pour l'histoire, avouons que ce spectacle de danse uniquement, ne nous donne pas de clés quant à sa compréhension... On comprends néanmoins qu'il est question d'amour...
Je lirais cette pièce et avec un livre, car bien que disponible sur Inlibroverita (Le texte de Shakespeare ) je n'arrive pas à appréhender tous les personnages. En pièce de théâtre tout doit soudain s'éclairer...
Place au spectacle, figurez vous oh merveilleux internet que j'ai trouver une vidéo de ce spectacle (pas filmé à Saint-Étienne mais quelle importance !).
Je peux vous dire que j'ai été charmée par les deux danseurs principaux :
Yu Otagaki et Joseph Aitken !
Et aussi par certaines mises en scènes très esthétiques et colorées !
Pour vous faire rire comme j'étais à la 5ème galerie (très haut) je me suis demandée pendant longtemps si les danseuses n'étaient pas dénudées au niveau des seins... A priori non ! Ces danseurs sont de sacrés athlètes !!! Des corps merveilleusement sculptés !
Comme
je ne suis pas critique de danse
et que je me sens bien en peine de
vous décrire tout ça
et bien si le cœur vous en dit,
Songez à regarder cette vidéo !
Plaisir des yeux et des oreilles
avec la musique de Félix Mendelssohn
et un texte de William Shakespeare que je lirais
"Mais je pus voir le trait enflammé de l'enfant Cupidon
S'éteindre dans les chastes rayons de la liquoreuse lune;
Et la nonne impériale continua son chemin
Dans sa méditation virginale, libre de toute passion.
Je vis toutefois où tomba la flèche de Cupidon.
Elle tomba sur une petite fleur de l'occident
Avant, blanche comme lait, maintenant pourpre de la blessure d'amour."
et un texte de William Shakespeare que je lirais
"Mais je pus voir le trait enflammé de l'enfant Cupidon
S'éteindre dans les chastes rayons de la liquoreuse lune;
Et la nonne impériale continua son chemin
Dans sa méditation virginale, libre de toute passion.
Je vis toutefois où tomba la flèche de Cupidon.
Elle tomba sur une petite fleur de l'occident
Avant, blanche comme lait, maintenant pourpre de la blessure d'amour."