dimanche 26 novembre 2023

Hazel Sarah Koskievic


#Hazel #NetGalleyFrance 

Une trentenaire désabusée en proie à des idées sombres traîne son autodestruction et morcelle son intégrité dans ses relations amoureuses. Hazel, c’est son nom, s’automutile et se donne à des hommes le temps d’une nuit, comme de petits abandons volontaires qui la dépossèdent d’elle un peu plus à chaque fois.

jusqu’au jour où elle rencontre Ian.

L’attraction est immédiate, irrépressible. Au rythme du Paris nocturne et des fumoirs de boîtes de nuit, Hazel et Ian se perdent dans une histoire d’amour vouée à l’échec. Jusqu’à sa fin… inattendue.

Avec une langue décapante et incisive, Sarah Koskievic présente une héroïne tragique qui bat en brèche toutes les recommandations de « bonne conduite féministe » - féminisme dont elle se réclame paradoxalement. Hazel fascine autant qu’elle émeut. Un personnage intense, entre force et fragilité, qui interroge avec férocité les contradictions d’une époque.

Sarah Koskievic est journaliste. Après plusieurs années à travailler pour la presse écrite, elle s’installe en Israël pour occuper le poste de rédactrice en chef d’une émission d’information. De retour en France, elle collabore notamment avec Les Inrocks, Vice, Causette, Uzbek&Rica. Elle est aujourd’hui la productrice éditoriale du podcast « Transfert » (Slate), l’un des podcasts les plus écoutés en France.

Mon avis : 

Un portrait de femme qui brûle tout ce qui touche. 

Une écriture vive, moderne, ce portrait se construit par le biais des hommes qui vont croiser le chemin de cette femme. Tout ceux qui viennent se brûler à son mal être.

Je ne sais trop que penser de cette lecture qui après deux mois passés ne m'a pas laissée une terrible impression, peut être une fin qui se veut percutante qui donne un sentiment déroutant... 

Mais je n'ai pas succombé à l'attirance de cette Hazel.

Merci à NetGalley et aux Editions de la Martinière pour le partenariat !

P.S : Article qui était resté en brouillon depuis longtemps ... Bon je le publie aujourd'hui même si mon avis est tout petit et n'apporte peut être pas grand chose....

jeudi 2 novembre 2023

Charrue Tordue - Itamar Vieira Junior

 


Au fin fond de l’arrière-pays, dans le Nordeste brésilien, Bibiana et Belonísia trouvent un beau couteau au manche d’ivoire sous le lit de leur grand-mère. Fascinées, elles décident d’en goûter le métal. Le drame qui s’ensuit marquera leur vie et les liera à jamais… Car, dans cette communauté afro-brésilienne de paysans sans terre, on vit à la merci des propriétaires terriens. Et c’est à ce monde archaïque que l'une des deux sœurs, va s’opposer, en se faisant la voix de sa sœur et de toute sa communauté, soudée par les rites ancestraux du Jarê et l’invocation de ses divinités.
D’une oralité saisissante, Charrue tordue est un roman magnifiquement engagé sur le destin méconnu des descendants d’esclaves. L’histoire à la fois réaliste et envoûtante d’un combat politique et d’une rédemption qui évoque un Brésil en pleine mutation.

Mon avis : 

Une lecture que j'ai faite grâce à Babelio et Les Éditions Zulma ! 

Avec les Masses Critiques je prends quelques "risques " de lecture, ce qui me permet de découvrir de nouveaux auteurs.

J'ai eu une belle rencontre avec ce roman, qui est le deuxième roman de l'auteur brésilien Itamar Vieira Junior.

Ce roman m'a énormément plu et si je ne lui attribue pas tout à fait les 5 étoiles maximum, il n'en est pas loin du tout.

C'est l'histoire de ces deux sœurs et à travers elles, l'histoire de leur famille, mais également de leur communauté.

Tout commence ici avec une évènement dramatique, une des sœurs (dans la première partie du livre on ne sait pas laquelle…) se tranche la langue avec un couteau trouvé dans les affaires de leur grand-mère.

J'ai aimé ce parti pris de la part de l'auteur (et je vous invite à ne pas lire la 4ème de couverture sauf sur mon blog car je l'ai modifiée ;-)) qui nous en dit le minimum comme pour laisser les deux sœurs unies à travers cette tragédie.

Bélonisia et Bibiana grandissent ensemble, et vont se séparer et se retrouver. Cet accident va les lier par le sang comme par "deux fois".

L'auteur fait parler l'une et l'autre dans les différentes parties du livre et on découvre au milieu de celui-ci, qui des deux sœurs a eu la langue tranchée. 

Cette histoire entremêle, l'histoire de cette famille et aussi et surtout de toutes ces personnes africaines arrivées au Brésil  et réduites à l'état d'esclaves.

L'auteur se focalise sur la communauté des Quilombos. L'occasion pour moi de me documenter après ma lecture, un peu sur cette histoire des esclaves noirs arrivés au Brésil et constituant une bonne partie du pays encore aujourd'hui même si l'esclavage a été aboli  (lire cet extrait de documentaire ICI et également ). 

Cette communauté n'a eu de cesse de travailler la terre brésilienne pour survivre et sont restés des esclaves de riches propriétaires terriens. Communauté unie dans les difficultés, elle va se révolter. 

Je suis une vieille enchantée, très ancienne, et j'ai accompagné ce peuple depuis son arrivée du Minas, du Recôncavo, depuis son arrivée d'Afrique. Peut-être ne se souviennent-ils plus de Sainte Rita Pescadeira, mais ma mémoire ne me permet pas d'oublier ce que j'ai souffert à leur côté, fuyant les combats liés à la possession des terres, la violence des hommes armés, la sécheresse. J'ai traversé le temps comme on traverse les eaux d'une rivière sauvage. La Lutte était inégale, et j'ai dû supporter maintes fois la déroute des songes.


Les Quilombos ont aussi de fortes traditions et croyances qui les aident et les accompagnent, notamment le culte des Enchantés, porté par le père des deux sœurs : Zeca Chapéu Grance

L'auteur va d'ailleurs nous distiller tout au long de son roman, cette pratique de croyance en lien avec la terre et les esprits.

J'ai vraiment apprécié ressentir tout ce poids des traditions et ce basculement vers un monde emprunt de magie noire et de guérisseurs.

Ce roman est bien écrit ( et bien traduit je pense). Je me suis sentie proche de ces deux sœurs et on souhaite le meilleur à cette famille qui donne beaucoup à sa communauté sans rien posséder. Seulement le fruit de leur labeur et ses liens magnifiques avec la nature, la terre et les hommes. 

La place des femmes est évoquée mais avant tout celle de cette communauté qui a été sans cesse exploitée. 

Une leçon d'histoire, où nous comprenons les difficultés de travailler à vie une terre sans jamais la posséder…

Le vieux ne fit tomber aucun mur, il ne retira pas une seule fourche de soutien. Le temps se chargea de démolir la vieille maison. N'abritant plus nos vies, elle semblait se détériorer avec l'urgence propre à la nature qui l'entourait. A chaque forte pluie, une paroi s'écroulait, et pour finir, le vent en termina avec elle. Cette enceinte d'argile sèche, issue du sol d'Agua Negra, retourna simplement à la terre d'où elle provenait. Il en naquit des herbes et des petites fleurs grâce à l'humidité de la rosée, ou de la pluie qui tombait quand les saints en avaient décidé ainsi. J'étais attentive à tout ce qui arrivait, sachant que rien ne reviendrait jamais plus. Je contemplais avec une sorte d'émerveillement le passage du temps, indompté comme un cheval sauvage.

Cette langue tranchée est très symbolique finalement, elle représente tous les non dits que la vie peut semer sur les chemins tortueux, mais que sans parole, le cœur et le corps continuent à s'exprimer au delà des mots et même des morts.


Merci infiniment pour cette lecture tranchante qui donne la parole 
à ceux qui ne l'ont jamais vraiment eu...

Quant à vous, n'hésitez pas à découvrir l'histoire de ces deux sœurs et de découvrir laquelle s'est tranchée accidentellement la langue.

Pour ma part, je suis totalement enchantée par ma lecture 
et vous invite vivement à découvrir cette histoire.


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samedi 21 octobre 2023

37ème fête du livre à Saint-Etienne

 

Une petite récolte de livres et de Didicaces lors de la 
37ème fête du livre de Saint-Étienne !

Il est toujours agréable de flâner au milieu des livres et des écrivains.

Des livres dans ma bibliothèque dont je ne manquerai pas de vous parler ici ;-)

Enfin, ceux de ma récolte de l'année dernière ont été lus 

mais je ne les ai toujours pas chroniqués…;-))

Bonnes vacances à ceux qui en ont ♥ et bel automne à tous !

eeeee

dimanche 8 octobre 2023

Roca Pelada Eduardo Fernando Varela

Quant


Le détachement militaire du col de Roca Pelada est perché au-dessus de toutes les villes de la planète et de presque toutes les espèces vivantes, pour y accéder il est plus facile de descendre d’un nuage que de grimper la cordillère. Entre orages magnétiques et pluies de météorites, avec pour tout horizon le désert qui mène aux volcans et aux geysers, face à face deux garnisons de postes de frontière se surveillent. Un jour le commandant de l’un des postes change, et son remplaçant est une femme…

Après le succès public et critique de Patagonie route 203, Eduardo Fernando Varela nous fait découvrir cette fois-ci la vie au sommet des plus hautes montagnes du monde. Un rythme hypnotique, des paysages sauvages et sans limites, des dialogues et des situations aussi surréalistes qu’hilarants et une puissante réflexion sur les grands détours de l’existence aux côtés d’un lieutenant solitaire, un sergent impertinent, une escouade de caporaux venus des tropiques, malades mais très polis, de mineurs faits de pierre et d’os, et même un vieux sorcier ! Un roman unique et intemporel

Source Métailié



MON AVIS :

Cette lecture je l'ai faite sur ma liseuse, je me la suis offerte car j'avais lu cet auteur et j'avais très apprécié son premier livre : Patagonie route 203 (vous pouvez cliquer pour revoir l'article sur mon blog).

Se lancer dans cette lecture c'est accepter que la nature, l'atmosphère, le vent, l'altitude et les montagnes soient au cœur de l'histoire.

Sur Roca Pelada les conditions atmosphériques sont extrêmes, à plus de 5000 mètres d'altitude les hommes ne sont plus pareils… Ils doivent s'adapter au maximum.

Deux camps militaires opposés campent là sur ce sommet au milieu de nul part sur la ronde des confins.

Deux détachements de militaires y stationnent et s'observent mutuellement.

Tout semble très très calme. Les chefs ne s'affrontent pas vraiment, ils sont ici et essayent de réaliser leur mission (un peu obscure) pour le mieux.

L'auteur nous parle ainsi de ces hommes qui sont à s'observer et dont les ordres et les missions ne sont pas très très clairs. 

Défendre des bouts de frontière et des cailloux… L'auteur fait rentrer dans son roman l'absurdité, il délivre ainsi finalement un message de fraternité.

La vacuité de l'existence est mise en valeur également.

Dans ce roman, il y a un homme et une femme et chabadabada… Ah non, pas tout à fait… Les histoires d'amour ne sont pas toujours vécues de la même façon d'un côté et de l'autre

Il y a le commandant Costa, personnage principal du roman et Veira Brower la cheffe du camp adverse. Comme son habitude, Eduardo Fernando Varela va nous parler d'amour et de désir par un prisme masculin, celui de Costa.

Si ce roman m'a moins enthousiasmé que le premier de l'auteur, j'ai passé un moment hors du temps, au milieu de nul part, en compagnie du lieutenant Costa et j'ai aimé l'atmosphère particulière et décalée de cette histoire et particulièrement de me mettre dans la tête de cet homme.

Les personnages secondaires sont bien étranges et ont des comportements drôles et étonnants. Oui, on a du surréalisme dans ce roman.

Un roman d'atmosphère où la nature en impose aux hommes, qui s'adaptent ou qui n'y arrivent pas et tentent de fuir ...

Mais il n'est pas toujours facile de se fuir soi même, non ?

Quant à moi, je vous invite si vous le voulez (ou pas) en "absurdie" sur le col de Roca Pelada, en compagnie du commandant Costa et des autres ! 

A vous de voir si vous allez vous adapter, ou si vous allez fuir ;-)

dimanche 24 septembre 2023

Automne et un petit coucou

Un petit coucou pour vous dire que je reviens bientôt ici ! 

C'est l'automne depuis hier et j'ai posté mon dernier billet début juillet !!!!

Pourtant j'ai lu (de beaux livres, des livres tristes, des livres moins bien aussi) , 

Pourtant j'ai voyagé (Et quel voyage !!!! Avec plein d'animaux et des paysages à couper le souffle).



Je continue avec plaisir à vous lire sur vos blogs et vous remercie de m'offrir toujours des idées de lecture et d'autres choses !

Un petit passage à vide peut être, accentué par la forte canicule qui a frappée ici et qui m'a laissée sans énergie !!! 

Et puis, fin août retour aussi à la réalité, avec une rentrée encore bousculée par des changements de dernière minute qui m'ont contrariés et du coup une rentrée intense et pas très agréable pour moi.

Je vous embrasse et vous retrouve bientôt, promis. 

Je vais d'ailleurs recevoir un partenariat de la part de Babelio ♥ ça relancera la "machine".


mercredi 5 juillet 2023

Pur sang de Franck Bouysse

 


#Pursang #NetGalleyFrance 

Sous un ciel de crépon, ils pénétrèrent dans la forêt. Une forêt qui était toutes les forêts à la fois ; là où le sacrifice n’ était pas un vain mot et où la mort était féconde.

Elias a grandi à Eden Creek dans le Montana. Élevé par un couple d’Indiens descendant de la tribu des Rêveurs, il croit son destin lié à ce monde. Mais avant de mourir, pour s’alléger d’un poids trop lourd, Mama Tulssa lui fait une révélation qui va bouleverser le cours de son existence.

Elias s’envole alors pour la France où l’attend une terrible vérité, le secret de ses origines.

Editions Phébus 

Mon avis :

Troisième livre de cet auteur dont j'ai adoré "Né, d'aucune femme" et en deuxième position "Buveurs de Vent.". Celui-ci, vient en troisième position...

Mince alors espérons que d'autres lectures de Franck Bouysse me réenchantent, car avec cette lecture je n'ai pas été vraiment emballée. 

Pour cet opus me voilà mitigée, car si j'en ai aimé la première partie j'ai subi lors de la deuxième partie, comme une faille spatio-temporelle qui m'a beaucoup perturbée.

La première partie se passe en pleine nature aux USA. Franck Bouysse nous plonge avec plaisir dans une communauté indienne au cœur d'une nature sauvage. Il sait parfaitement tisser les liens entre les hommes et la nature. 

Je retrouvais alors ce que j'aime chez cet auteur, mais voilà, ce plaisir n'a pas duré !

A la mort de de ceux qui l'ont élevés et qu'il croyait être ses parents, Elias va impacter une révélation qui va le conduire à quitter son pays, son territoire, pour la France afin d'essayer de comprendre et découvrir d'où il vient réellement !

Mais alors là, je n'ai pas voulu croire que d'un coup d'un seul cet homme baignant dans une culture indienne proche de la nature,, déconnecté de tout l'univers moderne, s'en sorte sans aucun problème ! 

Disons que le personnage construit par l'auteur dans la première partie du livre était bien  trop loin du jeune homme projeté dans le monde moderne. D'ailleurs, même dans la première partie on a le sentiment de ne pas être dans l'époque actuelle… 

Pour moi ça n'a pas fonctionné, j'en ai été au départ déstabilisée, puis agacée et enfin déçue !

C'était comme si on passait des signaux de fumée à l'ère d'internet ! De plus, la deuxième partie cumule pas mal de clichés. 

On a envie pourtant de croire à cette amitié masculine et on veut bien partir à la recherche des origines d'Elias, mais bon la sauce est quand même retombée pour moi.

Chez Franck Bouysse, ce que j'aime, c'est quand il se trouve à écrire et décrire ses personnages au cœur de la nature. C'est quand sa plume se fait poétique mais aussi noire.

J'ai cru comprendre que ce livre avait été  écrit il y a longtemps avant les autres que j'ai davantage appréciée, alors... Mais aussi qu'il y aura une suite... Mais je crois que pour cette histoire ce sera sans moi pour cette fois.

Merci tout de même à NetGalley et aux éditions Phébus pour ce partenariat que j'honore un peu tardivement, même si j'ai lu ce livre il y a plus de 3 semaines)

et avec un avis pas très positif… C'est ainsi ! 

D'autres livres sont à découvrir et mes deux premières lectures de Franck Bouysse m'ont carrément bien plus emballées. 


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dimanche 4 juin 2023

Musée Christophe Chabouté

 





Qui regarde qui ? …
Entre les statues de marbre et les tableaux de maîtres, les visiteurs du musée d’Orsay posent tantôt des yeux admiratifs, tantôt un regard perplexe sur les chefs-d’œuvre qui bordent les allées. Ils échangent dans un murmure discret et continuent leur déambulation. Mais lorsque les portes du musée d'Orsay ferment et que la nuit tombe, les sculptures et les peintures quittent la pose, descendent de leur socle, s'animent, se détendent, se mettent à se raconter, s’interrogent ou commentent ce qu'elles ont pu voir ou entendre au cours de la journée. 

Mon avis : 

Un roman graphique qui m'a fortement tenté lors de la dernière masse critique graphique de chez Babelio !

Merci merci merci pour ce joli partenariat de lecture ♥

J'ai enlevé un peu du descriptif qu'il y avait sur les différents sites à propos de ce livre. En effet, à quoi bon trop détailler ! 

Ce livre se déguste avec plaisir et en avoir la surprise est le plus agréable.

Pour moi ce fût un régal, de bout en bout. Le graphisme tout d'abord, et ce noir et blanc qui au départ ne me tentait pas et qui à su s'imposer comme le jour et la nuit à l'intérieur de ce musée. 

Ce graphisme si minimaliste et pourtant si juste. Quelques traits définissent un chef d'œuvre, tout simplement (enfin simple c'est souvent chez les dessinateurs une force immense que de faire ressentir beaucoup avec peu de traits !). Chabouté excelle dans cet exercice, cet art !

Des compositions, des zooms, des planches entières nous disent tant. Peu de bulles, mais beaucoup de choses dites, juste à la force du dessin ! 


L'idée de faire vivre les œuvres est une si riche idée. Oui, les œuvres
 sont en perpétuelles interactions avec leurs publics et leur donner la parole pour nous renvoyer leurs regards sur nous les spectateurs est une idée excellentissime. 

De plus Chabouté se met pas à la place de toute les sortes de visiteurs. Il ne prend pas le parti de son seul regard ! C'est très agréable et pas égoïste (comme ça existe dans certain livre où l'auteur se permet "d'imposer" sa propre vision.) Et puis de bonnes touches d'humour parsèment ce livre. 

J'ai vraiment adoré ce roman graphique et je peux avec toujours le même plaisir me délecter de ses pages encore et encore. 

C'est cool, il va trôner amoureusement dans ma bibliothèque. 

Une bonne dose d'humour, de la poésie et une mise en dessin superbe, 

que demander de plus ? Moi je demande rien de plus !

Je vous invite à entrer de jour comme de nuit visiter ce Musée d'Orsay

dessiné par Christophe Chabouté ! 

De vous régaler, de sourire, de vous questionner et d'admirer ! 

Je vous souhaite tout autant de plaisir que j'en ai eu !

Merci encore à Babelio et aux Editions Glénat et Vents d'Ouest !




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