lundi 27 mai 2013

Gatsby le film ! Enfin mon petit billet !

Voici enfin mes impressions sur le film de Baz Luhrmann adaptation du livre de Gatsby le Magnifique  (voir mes précédents billets).


Chose promise chose due, voilà une semaine que j'ai vu ce film.


 Je ne regrette pas d'être aller le voir sur grand écran ! 

Un film splendide dans ses décors et sa folle exubérance,
 

l'imagerie des années 20 mise en avant. 


  La ville de NY et sa banlieue ! 


  Les maisons très art déco, les costumes et bijoux ( lire ici) et les voitures !

La maison de Gatsby
La chambre de Gatsby
les bijoux de Daisy
 


Nous sommes au spectacle, c'est un tourbillon géant
 qui nous entraine dans le monde de la fête ! 


 Au niveau musical, feu d'artifice de style et d'époque, on pioche dans le contemporain comme dans l'ancien. Je note des chanteurs et chanteuses que j'aime : Florence and the Machine, Sia, Lana Del Ray, Gotye... D'autres très modernes que je n'écoute pas beaucoup moins mon style...



 L'idée de faire rentrer le narrateur dans l'histoire par le biais de ses confidences écrites pour se soigner est une belle idée qui n'est pas dans le livre. 

Cette idée est aussi prétexte à insérer parfois dans le film quelques phrases poétiques cultes qui sont très importantes dans l'écriture de F. Scott Fitzegald. 

L'acteur, Tobey Maguire, j'ai l'habitude de le voir en costume de Spiderman alors ... et je n'ai pas aimé sa vraie voix. Par contre le fait que dans la vraie vie Tobey et Léonardo soient des amis cela se ressent à l'écran (lu dans mon magazine) !


Comme j'en suis au jeu des différences (où des 7 erreurs) je dirais que le parti pris du cinéaste réside dans l'accentuation de certains faits et dans l'oubli de quelques autres ... 
Et ce sont surtout certains oublis qui m'ont un peu chagrinés. 

Les faits accentués : 

- La violence intérieur de Gatsby qui ne surgit jamais que dans les mots ou expression du visage dans le livre, est ici mise en scène avec une scène où Gatsby va attraper au col Tom comme pour le tuer ... 
Dans le livre tout est dans le regard et l'expression de Gatsby à aucun moment il ne ressort cette violence physique.



- Les scènes d'adultère sont mises en scènes, aussi bien pour Tom et Myrtle ( à grand renfort de bruits divers... ) que pour Daisy et Gatsby dans une vision ultra romantique ... 
 Or si on peut les imaginer, peut être, elles ne sont pas mises en avant ni pour les uns ni pour les autres....

Dans le livre il n'y a pas de scène où l'on peut observer ne serait-ce qu'un baiser entre Gatsby et Daisy...(après il est vrai que le narrateur était avec Jordan Baker  et qu'il n'avait pas toute son attention portée sur le couple à nouveau réuni...).  

 

Daisy est beaucoup plus sympathique dans le film que ce que l'on ressent dans le livre... Mais l'époque lui donne sans doute des excuses... L'actrice est agréable et colle à son personnage.



- Grrrr je n'ai pas aimé la scène où Gatsby est sur le ponton comme dans Titanic ce n'était pas bien vu ...(enfin il n'y a p'tt que moi qui ai pensé à cette scène...) et puis le coup de téléphone à la fin ... Un peu tout much '.


Les faits oubliés...

- D'ailleurs à ce propos l'histoire du narrateur est un peu laissée de côté pour tout ce qui ne concerne pas sa relation avec Gatsby ... 
Hors dans le roman celui-ci vit une brève relation avec Jordan Baker et que celle ci s'achèvera quand Nick s'apercevra qu'elle ne prends pas parti et est totalement indifférente au sort des autres et de Gatsby ...

Nick et Jordan


Nick et Jordan à la fête de Gatsby

- Beaucoup de personnages du livre ne sont pas mis en avant, voir carrément inexistants  : 

L'enfant de Tom et Daisy, la soeur de Myrtle, mais surtout selon moi le père de Gatsby ....
J'ai trouvé cela très déplorable... 
Si le réalisateur a su créer le vertige de la fête, il n'a pas su tirer parti des chapitres très douloureux de la fin de l'histoire et l'organisation des obsèques dans la maison déserte ...

Le livre m'a presque fait pleurer et là (en plus que je savais la fin), j'ai été déçue par ce parti pris...

En résumé et parce que je sens que je m'étale, je dirais que ce film 
est à voir dans l'exubérance de son début 
et dans la mise en scène folle de son réalisateur. 


Il se laisse voir grâce à Léonardo Di Caprio 

qui a su parfaitement incarner cette homme magnifique
avec charme, conviction et humour !


Je vous conseille néanmoins de lire avant tout le livre 
car il recèle bien des trésors de poésie et de romantisme. 



 


samedi 25 mai 2013

DEPECHE MODE DELTA MACHINE

Il y a toujours de la musique chez moi ! En ce moment j'écoute en boucle le nouvel album de

  DEPECHE MODE ! 
DELTA MACHINE


 Je l'ai écouté d'abord sur dee-zer et sur divers sites de vidéos  
et comme je l'aimais trop je me le suis offert (version Deluxe) !

01 - Welcome To My World
02 - Angel
03 - Heaven
04 - Secret To The End
05 - My Little Universe
06 - Slow
07 - Broken
08 - The Child Inside
09 - Soft Touch/Raw Nerve
10 - Should Be Higher
11 - Alone
12 - Soothe My Soul
13 - Goodbye

et en bonus 4 titres

Long Time lie
Happens all the time
Always 
All that's mine

Dee-zer essaye de refaire des efforts côté partage mais vous n'avez peut être que les 30 secondes...





 Sinon un bon morceau de concert :



Il y a une  belle chronique de cet album à lire ICI !

 
J'adore les photos de Anton Corbijn dans le petit livret où l'on trouve aussi les paroles des chansons ce qui n'est plus souvent le cas !






Ma chanson préférée de cet album est SHOULD BE HIGHER

 Je rêve d'un jour
Où j'oserai croire
Que tu es la réponse
Lorsque la honte
Et la culpabilité sont effacées
Et que la vérité apparaît
Oh, le contact de ta main
Je perds qui je suis
Si j'en ai envie
J'ai essayé de résister,
Mais je succombe à l'extase
De ton baiser


avec le superbe voix de Dave Gahan !!!♥




dimanche 19 mai 2013

Gatsby le magnifique F. Scott Fitzgerald

Dans le Long Island des années vingt, la fête est bruyante et la boisson abondante. Surtout chez Jay Gatsby. Aventurier au passé obscur, artiste remarquable par sa capacité à se créer un personnage de toute pièce, Gatsby, figure solaire par son rayonnement, lunaire par le mystère qu'il génère, est réputé pour les soirées qu'il donne dans sa somptueuse propriété. L'opulence, de même que la superficialité des conversations et des relations humaines, semblent ne pas y avoir de limites. C'est pourquoi l'illusion ne peut être qu'éphémère. Parmi les invités de cet hôte étrange se trouve Nick Carraway, observateur lucide qui seul parvient à déceler une certaine grandeur chez Gatsby, incarnation de multiples promesses avortées. Ce roman visuel qui se décline dans des tons d'or, de cuivre et d'azur, s'impose également comme la chronique d'une certaine époque vouée, telle la fête qui porte en elle son lendemain, à n'être magnifique que le temps d'un air de jazz.
  
Découvrir cet auteur sur Babelio.com

Mon avis :

Comme je vous l'ai dit dans un précédent billet (voir ICI) je voulais absolument découvrir le livre de F. Scott Fitzgerald avant d'aller voir le film actuellement sur les écrans.

Je n'ai jamais lu cet auteur, il était temps de combler cette lacune. Par contre j'ai lu un roman qui évoque cet écrivain emblématique par le prisme de Zelda : Alabama song de Gilles Leroy vous touvrerez mon billet ICI. (pensez à cliquer sur les liens )
 
J'ai été charmée par le portrait de cet homme, Gatsby et par celui de la société américaine des années 20. 

Gastby est le personnage idéal de cette histoire : à la fois acteur et victime, il nous donne à travers le narrateur Nick Carraway à observer cette société de futilités et de richesses. 

Avant de lire ce livre je ne savais rien sur cette histoire et j'aime d'ailleurs partir en lecture comme en découverte. Par contre, désormais je sais la fin de cette histoire et comme je veux voir le film je sais la fin du film... Je ne sais pas si ce n'est pas un peu dommage au final...

Pour vous reparler du livre, j'en ai beaucoup aimé l'écriture. 

Il y a réellement une belle poésie dans les phrases de cet écrivain.
Le vent était tombé, libérant les voix de la nuit, une nuit lumineuse, sonore, des frôlements d'ailes dans les arbres, et la note obstinée d'un orgue, comme si le trop-plein des vastes souffleries terrestres animait le chœur des crapauds. La silhouette d'un chat a traversé le clair de lune et, en tournant la tête, j'ai constaté que je n'étais pas seul. A cinquante yards de moi environ, un personnage était sorti de l'ombre que dessinait la demeure de mon voisin, et debout, les mains dans les poches, il regardait la grenaille argentée des étoiles. Quelque chose, dans la nonchalance de son attitude et l'assurance avec laquelle il foulait sa pelouse, m'a conduit à penser que c'était Mr Gatsby en personne, venu évaluer quelle superficie de notre ciel commun lui appartenait en propre.
Gatsby nous apparait comme pour le narrateur très secret. On ne sait d'où il vient, d'où provient toute sa richesse. On extrapole par petites touches disséminées de ci delà, prêtant intérêt ou pas aux rumeurs les plus folles tenues sur son compte. 

On avance au fil des liens qui se tissent entre Nick et Gatsby. La construction de ses liens entre le narrateur et Gastby m'ont beaucoup touchés.  

Il me sourit avec une sorte de complicité - qui allait au-delà de la complicité. L'un de ces sourires singulier qu'on ne rencontre que cinq ou six fois dans une vie, et qui vous rassure à jamais. Qui, après avoir jaugé - ou feint peut-être de jauger - le genre humain dans son ensemble, choisit de s'adresser à vous, poussé par un irrésistible préjugé favorable à votre égard. qui vous comprend dans la mesure exacte où vous souhaitez qu'on vous comprenne, qui croit en vous comme vous aimeriez croire en vous-même, qui vous assure que l'impression que vous donnez est celle que vous souhaitez donner, celle d'être au meilleur de vous-même. Arrivé là, son sourire s'effaça - et je n'eus devant moi qu'un homme encore jeune, dans les trente à trente-deux ans, élégant mais un rien balourd, dont le langage policé frisait parfois le ridicule. Avant même de savoir qui il était, j'avais été surpris du soin avec lequel il choisissait ses mots.

La société des années 20 est bien décrite du côté des nantis où l'argent et le paraitre sont les seules valeurs dans l'air du temps...

Gatsby c'est avant tout une histoire d'amour. Une belle et tragique histoire d'amour.

Où l'on voit un homme prêt à tout pour reconquérir sa belle ... Sa belle c'est Daisy dont il est tombé raide dingue amoureux mais qu'il a perdu...

Le visage clair de Daisy se levait lentement vers lui, et il sentait son cœur battre de plus en plus vite. Il savait qu'au moment où il embrasserait cette jeune fille, au moment où ses rêves sublimes épouseraient ce souffle fragile, son esprit perdrait à jamais l'agilité miraculeuse de l'esprit de Dieu. Il avait alors attendu, écouté encore un moment la vibration du diapason qui venait de heurter une étoile, puis il l'avait embrassée, et à l'instant précis où ses lèvres touchaient les siennes, il avait senti qu'elle s'épanouissait comme une fleur à son contact, et l'incarnation s'était achevée.
Daisy est mariée à Tom désormais. Un homme très riche qu'elle croit aimé... Où qu'elle aime pour son argent.
Tom et Daisy étaient deux êtres parfaitement insouciants - ils cassaient les objets, ils cassaient les humains, puis ils s'abritaient derrière leur argent, ou leur extrême insouciance, ou je-ne-sais-quoi qui les tenait ensemble, et ils laissaient à d'autres le soin de nettoyer et de balayer les débris.
Ces deux personnages là, je suis comme le narrateur je ne les aime pas du tout ... Ils représentent pourtant une frange de la société qui doit hélas encore exister à notre époque...
Et Tom est franchement exécrable et égoïste, à se demander pourquoi Daisy ferra ce fatal choix (ggrrrr et en plus elle, rhaaa je ne peux rien vous dire)... Femme futile....

Gatsby pensait pouvoir reconquérir le cœur de sa belle avec l'argent qu'il avait gagné... 

Ni le feu ni la glace ne sauraient atteindre en intensité ce qu'enferme un homme dans les illusions de son cœur.
 Mais les histoires d'amour finissent mal en général, vous le savez vous aussi...

Il a dû sentir qu'il venait de perdre à jamais son ancien monde de lumière, que c'était le prix à payer pour avoir trop longtemps vécu prisonnier d'un seul rêve. Il a dû s'étonner d'apercevoir, entre les feuillages devenus hostiles, un ciel qu'il n'avait jamais vu; trembler de découvrir à quel point la rose était un objet grotesque, à quel point le soleil criard écrasait les jeunes pousses de gazon. Un monde nouveau, concret et pourtant irréel, où de mornes fantômes, ne pouvant respirer qu'à travers leurs songes, dérivaient au hasard - tel ce personnage surnaturel, au visage de cendres, qui glissait vers lui parmi les troncs informes. 

La fin de ce roman m'a bouleversée, c'est triste à en mourir.

Oui Gatsby est magnifique, et il a ravi mon cœur !  

Gatsby croyait en la lumière verte, en l'avenir orgastique qui, d'année en année, recule devant nous. Il nous a échappé cette fois ? Peu importe... Demain, nous courrons plus vite, nous tendrons les bras plus loin... Et un beau matin...
C'est ainsi que nous avançons, barques à contre-courant, sans cesse ramenés vers le passé.

J'irais donc voir le film et je suis sure que Léonardo Di Caprio va être magnifique aussi dans ce rôle.


J'ai hâte d'écouter la BO du film et notamment Lana Del Rey ! (petit extrait mais je n'en regarde pas plus...le noir est blanc est très beau )


samedi 18 mai 2013

Pink et Pink Martini : le rose chasse la grisaille

@Didi 24 avril 2013




@Didi 24 avril 2013

Merci au Pink Martini pour leur concert du mercredi 24 avril 
à l’Amphithéâtre de Lyon

J'ai la plupart de leurs CD et dès que je veux m'évader ou rêver je les écoute !

Mes articles sur ce groupe (tapez sur les liens) :




Un très bon moment "ailleurs" avec une chanteuse polyglotte et des musiciens virtuoses !

L'extrait que je vous ai mis n'est pas un extrait de ce concert (il n'y avait pas cet instrument très beau), mais je trouvais que cette chanson allait très bien avec les photos que j'ai prises au Parc de la Tête d'Or à Lyon cette même après-midi (une journée estivale, juste pour nous faire envie qui ne reste qu'un souvenir, le temps est exécrable ici : pluie pluie pluie grisaille et froid)! 

Le concert fût trop court pour moi qui les aime tant... 1h 30 avec des chansons très connues, dont "Sympathique" chantée avec des Lyonnais fan ! Ils dédicaçaient leurs CD  en fin de concert mais je n'avais pas les miens avec moi... Dommage.

Apparemment ils vont sortir un autre disque prochainement, ils nous ont joué une chanson turque qui sera sur celui-ci ! 

Courage, chassons la grisaille en chansons !

C´est bon de vivre
De vivre libre
D´avoir du soleil plein les yeux
Un ciel de cuivre
Un bateau ivre
On a du soleil plein les yeux

La voile blanche
Vers nous se penche
Il pleut du soleil plein les yeux
La mer divague
Et fait des vagues
Et j´ai du soleil plein les yeux

 "Du soleil plein les yeux"



mercredi 15 mai 2013

Bouquins et films / films et bouquins L'écume des jours et Gastby le Magnifique

Un petit billet films - bouquins s'impose alors que deux films adaptés de livres sont à l'écran en ce printemps plus que maussade qui nous pousse dans les salles obscures !


L'écume des jours de Michel Gondry 
 




J'ai vu l'écume des jours le 30 avril dernier et j'avais lu le roman en 2006.

Je me demandais bien comment le réalisateur allait adapter ce roman ... Inadaptable ou pas ?

Quand j'ai lu le roman en 2006, je ne m'attendais pas du tout, du tout à ça... 

J'ai été très surprise, mais en bien finalement et mes souvenirs sont des images d'un univers très bizarroïde, et également des images très poétiques.

Un livre où le lecteur se crée ses propres images et où les mots sont une belle musique. 

Je l'avais bien aimé, heureuse d'avoir été surprise, d'avoir été étonnée, d'avoir été émue et aussi angoissée.

Je me souviens plus particulièrement d'un nuage de pluie au dessus de Chloé et Nathan et des petites billes qui sont censées soigner Chloé. De l'univers de travail lourd et absurde...

Alors que dire du film... et bien que s'il ne m'a pas déplu je trouve qu'il n'a pas la force du livre et de son écriture. 

Très difficile d'imposer aux lecteurs ses propres visions sur un univers aussi particulier.

 



Néanmoins si je vous conseille avant tout de lire le roman (je pense que pour beaucoup c'est déjà fait, d'ailleurs pas toujours à un bon moment, peut être trop tôt parfois dans les lectures imposées au cours de votre scolarité...)  vous pouvez prendre plaisir à naviguer dans l'imaginaire du lecteur Gondry.

De plus, si comme moi, vous aimez Audrey Tautou


 et Romain Duris,

 
alors vous passerez un bon moment ! 

Un élément en faveur du film est la musique   ! 
(voir ICI mon site de BO est en maintenance)

Je parie même que vous pendrez alors le chemin de la lecture 
avec la musique en fond sonore. 



 



Le deuxième film, je ne l'ai pas encore vu, il sort aujourd'hui et en même temps que pour le Festival de Cannes ! 

Gastby le magnifique de Baz Luhrmann



J'irais le voir, parce que moi et Léonardo c'est une histoire d'amour ♥ ! 

Je suis réellement fan de cet acteur et sa dernière interprétation dans Django Unchained à réaffirmer pour moi son immense talent ! 


film adapté du livre de F. Scott Fitzgerald.

 
Je suis en train de le lire (dans la version Livre de Poche) j'en suis à la page 142 (sur 223) et je le lis dans le tram. (je devrais dire je suis en tram de le lire...) et aussi le soir avant de dormir

Le livre est à 2.90 euros pas de quoi se priver et vous avez le choix des couvertures, ah oui toujours les apparences !

 
Oui, je voulais lire ce classique avant de voir ce film et pour l'instant et bien j'en aime l'écriture, un soupçon exigeante parfois. 

Il y a beaucoup de poésie, de la beauté classique et les années folles sont très bien décrites.

Je me demande si l'univers du réalisateur ne va pas être trop bling bling ... Si ce ne va pas être un peu "trop".... De plus le roman n'est pas très long...

Je n'irais pas le voir en 3D, pas envie, par contre j'irais le voir en VO parce que je préfère la voix de Léonardo dans sa version originale.  

J'avoue néanmoins que ma lecture est un peu faussée dans la mesure où dans ma tête Gatsby a pris l'apparence de Léonardo Di Caprio... Ben oui avec toutes les images du film et de Léonardo ça devait arriver. Par contre l'image de Spiderman  (Tobey Maguire) n'a pas parasité ma lecture, ouf, les toiles d'araignées ça va un moment ;-)  


Je reviendrais vous en parler prochainement, 
en plus j'ai repris une carte de 10 entrées 
dans mon cinéma chéri, Le Méliès ! 

En attendant je vous souhaite bonnes lectures
et/ou bonnes séances de cinéma !
 
Petit rajout de dernière minute : je ne l'ai pas chroniqué mais n'hésiter pas à aller voir le film 
Mud de Jeff Nichols ! 
J'essaye de vous en parler prochainement aussi...