Très joyeux Noël mes amis !
Bisous chocolatés
« Il est presque temps de parler de la Dame. J’ai hésité à le faire parce que, si quelqu’un trouvait mon journal et le lisait, il penserait que je suis fou. Je ne suis pas fou. »
Juillet 1916, bataille de la Somme. James Edwin Rooke, jeune officier et poète, consigne les horreurs de la guerre dans son journal. Les camarades morts pour gagner quelques centimètres de terrain. Les conditions effroyables dans les tranchées. Les ordres absurdes...
Mais, blessé au fond d’un trou d’obus, il a également aperçu de la beauté sous les formes d’une femme superbe. Un parfum de violette, une robe diaphane, de longs cheveux blonds...
Qui est-elle ? Que fait-elle sur le champ de bataille ?
Serait-ce l’Ange de la Mort, venu le réclamer ?
Dan Simmons est l’une des figures majeures de la littérature américaine. Science-fiction (Hypérion/ Endymion), fantastique (L’Échiquier du mal, Nuit d’été), roman historique (Drood, Terreur) ou encore polar (la trilogie Joe Kurtz), pour ne citer que quelques-unes de ses oeuvres les plus emblématiques, il touche à tout avec une facilité déconcertante et toujours une grande réussite. Le Grand Amant, qui nous plonge dans l’enfer de la Première Guerre mondiale, a reçu le Grand Prix de l’imaginaire. SITE ACTUSF
Allongé dans son lit en costume de deuil, ce 15 février, à l'heure de son anniversaire, Mortimer Décime attend sagement la mort car, depuis son arrière-grand-père, tous les hommes de sa famille sont décédés à onze heures du matin, le jour de leurs 36 ans.
La poisse serait-elle héréditaire, comme les oreilles décollées ? Y a-t-il un gène de la scoumoune ? Un chromosome du manque de pot ?
Que faire de sa vie, quand le chemin semble tout tracé à cause d'une malédiction familiale ? Entre la saga tragique et hilarante des Décime, quelques personnages singuliers et attendrissants, une crêperie ambulante et une fille qui pleure sur un banc, on suit un Mortimer finalement résigné au pire.
Mais qui sait si le Destin et l'Amour, qui n'en sont pas à une blague près, en ont réellement terminé avec lui ? Dans son nouveau roman, Marie-Sabine Roger fait preuve, comme toujours, de fantaisie et d'humour, et nous donne une belle leçon d'humanité.
Auteur : Marie-Sabine Roger est notamment l'auteur, au Rouergue, de La tête en friche (adapté au cinéma par Jean Becker), de Vivement l'avenir (prix des Hebdos en région et prix Handi-Livres), et de Bon Rétablissement (prix des lecteurs de L'Express), qui sort en salles en septembre 2014, adapté de même par Jean Becker.
Arrivé à un âge où presque tous ceux qu’il aimait sont loin ou disparus, Andrew Blake n’a même plus le cœur à orchestrer ses blagues légendaires avec son vieux complice, Richard. Sur un coup de tête, il décide de quitter la direction de sa petite entreprise anglaise pour se faire engager comme majordome en France, pays où il avait rencontré sa femme. Là-bas, personne ne sait qui il est vraiment, et cela lui va très bien. Mais en débarquant au domaine de Beauvillier, rien ne se passe comme prévu… Entre Nathalie, sa patronne veuve aux étranges emplois du temps; Odile, la cuisinière et son caractère aussi explosif que ses petits secrets; Manon, jeune femme de ménage perdue; Philippe, le régisseur bien frappé qui vit au fond du parc, et même l’impressionnant Méphisto, Andrew ne va plus avoir le choix. Lui qui croyait sa vie derrière lui va être obligé de tout recommencer…
" Tous avaient de drôles de vies, des parcours souvent chaotiques qui les avaient réunis ici. Au delà de leur attitudes, du personnage qu'ils s'étaient construit, chacun d'eux, quel que soit son âge, cachait des fêlures... Andrew soupira. il n'était en France que depuis quelques semaines et déjà, il philosophait lui aussi sur n'importe quoi."
"J'ai pratiqué beaucoup de métiers. Avec le recul je dois admettre qu'à chaque fois, la fonction avait à mes yeux moins d'importance que ceux avec qui je devais l'accomplir. la proximité, les échanges, l'entraide, le fait de partager un but commun... Tout ce qui fait la vie. très vite, le métier lui-même est devenu secondaire au profit des relations humaines.J'ai d'abord vécu cela avec mon père, puis avec la plupart de ceux que j'ai croisés. Au fond, je pense que j'aime prendre soin des gens. Je ne sais pas si c'est un métier, mais c'est à cela que j'aurais aimé pouvoir consacrer toute ma vie " Andrew Blake