mercredi 27 mars 2013

L'enfance d'Alan d'Emmanuel Guibert



En 1994, Emmanuel Guibert, alors en vacances, rencontre par hasard Alan Ingram Cope, un américain retiré sur l’île de Ré. C’est le début d’une profonde amitié entre ce retraité de 70 ans, et le dessinateur âgé d’alors 30 ans. Très vite, Alan, en fabuleux conteur, se met à raconter sa vie à un Emmanuel Guibert émerveillé.Après La Guerre d’Alan, consacré aux périple du jeune soldat Alan durant la seconde Guerre Mondiale, Emmanuel Guibert s’attache à retranscrire ses souvenirs d’enfance. L’Enfance d’Alan est aussi un formidable témoignage sur la vie quotidienne aux Etats-Unis avant-guerre. On y découvre la vie d’une famille ordinaire, humble, et l’éveil d’un enfant à l’existence. Dans la description des jeux avec les enfants du voisinage, des moments vécus en famille, ce travail de mémoire touche à l’universel. Le talent de conteur d’Alan, et la grâce du dessin d’Emmanuel Guibert, apportent à ce témoignage une douceur pleine de l’innocence de l’enfance, et de la joie du souvenir.  L'Association

Découvrir cet auteur sur Babelio.com

Lu dans le cadre de l'opération Price Minister je vous en avais parlé là. Pas trop en avance, j'ai reçu cette BD le 12 mars, merci Juan-Luis et mes excuses pour le léger retard... 

Merci beaucoup pour cette belle opération de découverte BD !



En Février, le mois de la BD, PriceMinister propose aux blogueurs de faire la critique d’une oeuvre de la Sélection Officielle du Festival D’Angoulême.


À l’occasion du festival d’Angoulême, que se déroule du 31 janvier jusqu’au 3 février 2013, PriceMinister met la BD à l’honneur en organisant un évènement pour les blogueurs passionnés de Bande Dessinée.  Nous offrons des exemplaires de toutes les BD de la Sélection officielle du Festival d‘Angoulême*, sur le principe d’une BD contre une critique.

Je profite donc du mercredi, et oui le mercredi c'est BD chez Mango pour vous parler de ma belle lecture.



Mais qui est cet Alan, me suis-je demandée ?


Alan Ingram Cope : né en Californie en 1925 ; décédé en France en 1999. À dix-huit ans, il a été appelé, “comme tous les jeunes Américains”, pour être envoyé assez rapidement en Europe sur le front de guerre. Il en est sorti indemne et est resté sur le vieux continent, s’installant dans une maison de Saint Martin de Ré à sa retraite. C’est là qu’en 1994, au hasard d’une villégiature, Emmanuel Guibert l’a rencontré. Il a eu pendant cinq ans de nombreux échanges avec lui et a enregistré ses souvenirs. Écoutant avec finesse cette voix, en interprétant les mots en dessinateur à la fois soucieux de justesse, de précision et en quête de liberté graphique, il a réalisé une bande dessinée en trois volumes (publiés entre 2000 et 2008 à L’Association) intitulée La guerre d’Alan. Aujourd’hui, il continue de mettre en images les récits d’Alan Cope. L’enfance d’Alan, un volume épais, paraîtra l’an prochain, toujours à L’Association, et sera suivi de L'adolescence d'Alan SOURCE



Une immersion, une plongée en enfance dans celle d'Alan Cope en Californie dans les années 30. 

Les premières planches sont en couleurs avec le ciel bleu de Californie

Puis on passe très vite au noir et blanc

Emmanuel Guibert nous dresse en images et dessins, un beau portrait de celui qui était devenu son ami, son maître mais aussi son disciple. 

Une belle amitié qui s'est enrichie mutuellement au fil des années d'échanges entre ces deux hommes. 

L'un conte, l'un rend compte

Plus qu'une BD je trouve que nous avons là un véritable album-souvenir, qui mixe graphismes et photographies ! 


Nous suivons Alan dans ses découvertes, dans sa vie d'enfant. 

Dans ses relations avec sa famille et plus particulièrement le lien qui l'unissait indéfectiblement à sa mère.


  Nous sommes en enfance, cette douce période des apprentissages premiers de la vie ! 



Nous ressentons à travers cet album, ses sensations, ses peurs, ses joies, ses peines !

J'ai été conquise par le phrasé et surtout par les dessins et le sens du silence et des mots d' Emmanuel Guibert. 

Ce dessinateur a su très bien retranscrire les émotions, les souvenirs d'enfance d'Alan avec par exemple les jeux d'enfants.



J'ai beaucoup aimé cette douceur dans le traitement des souvenirs d'Alan. 

 

Associée à de beaux traitements des lieux de vie (maisons, rues, commerces...) 


 

et de la nature, avec notamment la présence majestueuse des arbres ! 
(je vous laisse les découvrir, il y en a beaucoup et ils sont tous très beau !)





La lumière est très bien rendue et on sent la chaleur d'un été et l'ombre bienfaisante des arbres.



Une belle nostalgie se dégage et nous avons également des détails de la vie à cette époque en Amérique et plus particulièrement en Californie.






Une belle lecture vraiment et je ne vais pas hésiter à lire les autres opus qui parlent d'Alan (La guerre d'Alan, l'adolescence d'Alan) !
J'ai bien envie de connaître encore plus cet homme tout en profitant du très beau travail artistique du dessinateur !
J'admire ses dessins et je suis partante pour découvrir ses autres ouvrages également !

Comme je dois attribuer une note (je n'aime pas ...) je lui mets la note de 17/20.





Les avis des amis :

Celui de Mango lu dans le même cadre que moi

Celui de Jérôme qui m'avait donné envie de lire cette BD  et donné des liens audios dont celui de France Culture (hélas je n'arrive pas à réécouter Jérôme lui-même sur Lifby)


et celui de Lily et sa soupe au caillou lu et a aimé aussi et a poursuivi sa découverte 
 
"Dans la fou­lée, j’ai dé­voré les trois tomes de “La guerre d’Alan” que je conseille vi­ve­ment. Alors j’es­père suivre avec le même bon­heur le ta­lent de Mon­sieur Gui­bert, sur d’autres in­trigues, d’autres mys­tères."

dimanche 24 mars 2013

Libiamo ne'lieti calici - La Traviata



Alfredo :
Buvons, buvons dans ces joyeuses coupes
Que la beauté fleurit ;
Et que l'heure fugitive
S'enivre de volupté.
Buvons dans les doux frissons
Que suscite l'amour,
Puisque ces yeux tout-puissants
Percent le cœur.
Buvons ! l'amour, l'amour entre les coupes
Aura des baisers plus ardents.


Le chœur :
Ah ! buvons ; l'amour, l'amour entre les coupes
Aura des baisers plus ardents.


Violetta :
Parmi vous je saurai partager
Mes heures les plus joyeuses ;
Tout ce qui n'est du plaisir
Est folie dans le monde.
Amusons-nous, rapide et fugace
Est le plaisir de l'amour.
C'est une fleur qui naît et meurt,
Et l'on ne peut plus en jouir.
Réjouissons-nous !
De fervents et flatteurs accents
Nous y invitent.


Le chœur :
Ah ! Réjouissons-nous !
Les verres, les chansons
Et les rires embellissent la nuit ;
Que dans ce paradis
Nous retrouve le jour nouveau.


Violetta (à Alfredo) :
La vie est allégresse.
 
Alfredo (à Violetta):
Quand on ne s'aime pas encore...
 
Violetta :
N'en parlez pas à qui l'ignore.
 
Alfredo :
C'est là mon destin.

Tous :
Ah ! Réjouissons-nous !
Les verres, les chansons
Et les rires embellissent la nuit ;
Que dans ce paradis
Nous retrouve le jour nouveau


Un air d'opéra que j'ai en tête depuis 15 jours !

J'ai en effet eu la chance de voir cet opéra à l'Opéra Théâtre de Saint-Étienne.
Direction musicale Laurent Campellone
Mise en scène Jean-Louis Grinda
Chef de chœur Laurent Touche
Scénographie Rudy Sabounghi
Costumes Jorge Jara
Lumières Laurent Castaingt
Chorégraphie Eugénie Andrin
Violetta Valery Joyce El-Khoury
Alfredo Germont Stanislas de Barbeyrac
Giorgio Germont Vincenzo Taormina
Flora Bervoix Marie Karall
Annina Patricia Schnell
Gastone Frédéric Diquero
Le Baron Douphol  Vladimir Kapshuk
Le Marquis d’Orbigny Guy Bonfiglio
Docteur Grenvil Frédéric Caton
Orchestre Symphonique Saint-Étienne Loire
Chœur Lyrique Saint-Étienne Loire
Nouvelle coproduction Opéra de Monte-Carlo, Opéra Théâtre de Saint-Étienne
Réalisation des décors, costumes et accessoires 
dans les ateliers de l’Opéra Théâtre de Saint-Étienne
Composée juste après Rigoletto, La Traviata est l’œuvre qui a permis à Verdi d’accéder en quelques mois à la gloire internationale.
Loin des sujets historiques et des grands sentiments exaltés, Verdi et Piave, son librettiste, s’inspirent du roman La Dame aux Camélias d’Alexandre Dumas fils pour mettre sur la scène lyrique le personnage de Violetta. Le plaisir, l’argent, la passion, la mort, autant de thèmes qui dérangent la censure du XIXe siècle. Après un fiasco lors de sa création, en 1853 à Venise, le drame social va conquérir le monde entier pour devenir l’une des œuvres les plus populaires de l’histoire de l’opéra. Dans cette production, Jean-Louis Grinda a choisi une mise en scène qui, au cœur du XIXe siècle, met en lumière l’impossible ascension sociale d’une fille de basse condition.
Cette Traviata est aussi l’occasion de venir entendre des voix brillantes, jeunes et pleines d’avenir découvrir les voix exceptionnelles de la nouvelle génération.
"(…) Un Orchestre Symphonique Saint-Étienne Loire en excellente forme (…). Laurent Campellone, son directeur musical, fait du très beau travail et sait veiller à la synchronisation du chœur (excellent) et de l’orchestre." Renaud Machart, Le Monde, novembre 2011
Programme de salle
Dossier pédagogique
 

C'était la générale ! J'ai adoré ! Bravo !

Le spectacle était de toutes parts : j'étais juste au dessus de l'orchestre,
Avant l'arrivée de tous les musiciens

 Je lisais la traduction (Italien deuxième langue mais arrêté depuis longtemps ...).
"Godiamo, la tazza, la tazza e il cantico,
La notte abbella e il riso ;
In questo, in questo paradiso
Ne scopra il nuovo dì."
 
J'ai suivi l'histoire amoureuse et malheureuse
 de Violetta et Alfredo avec beaucoup d'émotion.  

Un magnifique moment offert par des chanteurs lyriques qui ont fait battre mon cœur ! 
On dit souvent que soit que l'opéra c'est on aime ou on n'aime pas et bien : 
J'aime ♥


samedi 23 mars 2013

Tag du printemps ou tag gourmand

Taguée par mon amie Syl. du blog : 
" Thé, lectures et macarons "


Je me prête amicalement  au jeu !


1.  Quel est votre dernier livre coup de cœur ?


Le recueil de nouvelles de Jean-Claude Mourlevat : "Silhouette"

2. Et le dernier qui vous est tombé des mains ?

Des mains ou des oreilles ... Car c'est en version audio que j'ai essayé de "lire" :

50 nuances de Grey et oh mon Dieuuu.... (cri d'Anastasia..) !!!

Non, ce n'est pas possible, je ne peux pas tant c'est répétitif et plat ... 
"Je hoche la tête" "Je hoche la tête" "Je hoche la tête" .....STOOOOPPPPP !!!!
J'ai bien tenté et écouté 4 h (sur les 16 h d'écoute du premier tome)  mais non je ne peux réellement pas continuer ! 

Mes excuses auprès de Noukette chez qui j'ai gagné ce livre audio.



3. Quel est votre personnage de fiction incontournable, inoubliable ?

Tout d'abord j'ai pensé à un personnage au cinéma et alors j'ai pensé à Jacques Mayol joué par Jean-Marc Barr dans le grand bleu. 


Puis je me suis dit et en personnage de roman ?

Je dirais alors, Kay Scarpetta, l'héroïne récurrente médecin légiste de Patricia Cornwell  


D'ailleurs, Patricia Cornwell sera présente au Quai du Polar dans une semaine, l'occasion de la voir.

Les premiers livres de cette auteure sont vraiment des très bons souvenirs pour moi :
De "Postmortem" à "Dossier Benton" je ne me suis pas ennuyée et j'ai pris beaucoup de plaisir. Après il est vrai que le concept s’essouffle un peu. Mais j'ai passé beaucoup de temps avec Kay !

Hors de cette "série" je n'ai pas du tout accroché à son livre sur Jack l'éventreur : affaire classée. Il fait parti de mes rares abandons en terme de lecture...

4. Que vous évoque les contes de Canterbury ? Ceux qui l’ont lu ont-ils souffert ?

Ça ne m'évoque pas grand chose, jamais lu .... 
Bon ben si c'est pour souffrir je préfère ne pas connaître !

5. Salé ou sucré ?

Les deux mon capitaine, je suis une épicurienne !




6. Biscuits ou bonbons ?


Plutôt bonbons ! Les Harib♥s c'est beau la vie pour les grands et les petits !!!



Les lézards
Les bouteilles de coca
Les dragibus
Les fraises tagadas 
Les nougats 
Les caramels 
Les nounours à la guimauve
Les batnas et les Krém♥s
Les sucettes 

rho .... j'en ai envie d'un, c'est malin !



ah oui j'oubliais les Carambars !!!!



D'ailleurs je suis indignée !!!! La société Carambar renonce à ces blagues : article ICI
ET décompte là : SITE

 
M'enfin c'est cultissime la blague à Carambar, j'ai pas envie de faire de l’orthographe ou avoir des questions de culture générale quand je mange un bonbon !!! 

 Laissez nous nos blagues !



7. Ovin ou caprin  ?

et bien les deux aussi....



Entre un morceau de Ossau Irraty 




ou un morceau de Roquefort... 

   
Mon cœur balance (et pas ma balance !)



8. Où étiez-vous le 13 mars 2013 vers 20H30 ?

Non ce n'est pas moi je le jure ! je n'étais pas en train de prendre un bonbon dans le placard pour le manger devant l'ordi...
 

9. Y a-t-il de la vie sur Mars ?

Ah il y avait de la vie sur mon Mars ?... Ben je l'ai mangé ! Oups !!!

10. Connaissez-vous la réponse à la grande question de la vie, de l’univers et du reste ?
 
ah ben non, c'est mystérieux, beau et effrayant à la fois...

L'infiniment grand ou l'infiniment petit... Oui mais dans quelle étagère...

On passe à l'autre question !

11. Si vous étiez un super-héros ou une super-héroïne, comment serait votre costume ?

Tadam !  Wonder woman !!!!





Bon je vous laisse les amis, 
attrapez le tag si vous le voulez ! Hop !




dimanche 17 mars 2013

Atelier d'écriture n°73

@ Romaric Cazaux

Ils s'en vont les moutons cotonneux, 
dans un ciel bleu gris.
Par dessus les collines mirages.

Ils s'éparpillent, nuages brumeux,
Dans le ciel à l'aube de la nuit.

Les rayons du soleil plongent
et esquivent les nuages,
Pour une longue nuit d'insomnie

Didi  





Je compose des poèmes pour 



mercredi 13 mars 2013

Silhouette de Jean-Claude Mourlevat

 Dix nouvelles fortes et cruelles. Lorsqu'elle découvre que son acteur préféré vient tourner près de chez elle, Pauline une mère de famille discrète, répond à une annonce pour être «silhouette» sur le tournage.Puisque ses jours sont comptés, M. Duc n'a qu'une idée en tête : retrouver les personnes auxquelles il a fait du mal autrefois et leur demander pardon...Dans le car qui l'emmène en colo, Guillaume, 14 ans s'aperçoit qu'il a laissé son chat enfermé dans sa chambre. Il doit impérativement retourner le délivrer...Que réservera le destin à ces héros ordinaires habités chacun de belles intentions ?
Découvrir cet auteur sur Babelio.com

Mon avis : 

Lecture d'un recueil de nouvelles, je suis fan de ce format, ce sont comme des lectures respirations. 

Emprunté à la bibliothèque, en avant première, j'ai pu me délecter de ces 10 nouvelles !

Recueil destiné à un public jeunesse, je pense que ces nouvelles peuvent être appréciées à partir d'environ 14 ans et bien au-delà !

Jean-Claude Mourlevat est un auteur très agréable et sympathique et j'ai eu la chance de le croiser à la fête du livre de Saint-Étienne en 2011 ( d'ailleurs j'ai "Terrienne " qui m'attends sagement dédicacé dans ma PAL et j'ai déjà lu plusieurs livres de cet auteur voir ICI ). Il faut dire qu'il est de chez nous ! 

D'ailleurs dans la première nouvelle qui donne le titre au recueil : Silhouette,  j'ai l'impression que Monsieur Mourlevat parlait de moi  (le tram, la ville de Sainté, Saint-Galmier ...)... Enfin jusqu'à la chute ...

Mais parlons-en de ces chutes justement, elles font toute la saveur de ces histoires et c'est bien pour ça qu'il m'est difficile de vous en dire plus sans vous enlever ce plaisir à leur lecture...

Oui ces nouvelles se consomment "cul sec " et se rappellent à vous une fois englouties (une sorte de deuxième effet " Kiss cool ") !

Toutes ces 10 nouvelles m'ont plu et à y repenser et bien je dirais que :

 "L'accord du participe passé " m'a fait jubilée ;-) hihihi je rigole "jubiler" , 

que " Ouessant " est hélas si juste en ces temps de crise, 

que les "Jolis nuages " m'ont ému, 

et que la dernière nouvelle " Escroc " est un excellent clin d’œil malicieux de l'auteur ! 

Mais je vous confirme que toutes 
ces nouvelles sont à découvrir !

Merci Monsieur Mourlevat pour ce recueil

Quant à vous chers lecteurs,
vous savez ce qu'il vous reste à faire !

Bonnes lectures !

dimanche 10 mars 2013

Atelier d'écriture

Un rendez-vous proposé depuis longtemps par Leiloona du blog Bric à Book dont j'ai souvent parlé ici !

Un atelier d'écriture assez libre qui prend appui sur des photos. 

Quelques informations sur cet atelier :
Chaque début de semaine je publie une photo qui servira de base pour votre texte. Vous avez une semaine pour l’écrire.
Ni genre, ni ton imposés. Seul le plaisir d’écrire. Encore et toujours.
Les textes sont donc publiés chaque lundi, le matin de préférence.
Pour que je puisse insérer vos liens, merci de les mettre ci-dessous en commentaire, ou de les envoyer par mail.
Have fun ! dixit Leiloona
 
Sans prétention aucune, je me suis déjà essayée à cet exercice, et là, cette semaine et bien je participe pour la première fois ! J'ai écrit une poésie.


@Romaric Cazaux


Ombres et lumières

Soleil au zénith
Je me voile les yeux 
Pour admirer le granit 

Du bleu à l'infini
Je m'élance et m'envole 
Entre les colonnes assagies 

Ombres caressantes 
Lumières scintillantes
Je passe du présent à l'infini

Projetée entre les lignes de démarcations
De l'ombre et de la lumière, 
Merveilleuse vibration.

Didi



Les autres textes se trouvent ICI