Présentation de l'éditeur
Dans un jardin sur les hauteurs de Reykjavik, un bébé mâchouille un objet étrange... Un os humain ! Enterré sur cette colline depuis un demi-siècle, le squelette mystérieux livre peu d'indices au commissaire Erlendur. L'enquête remonte jusqu'à la famille qui vivait là pendant la Seconde Guerre mondiale, mettant au jour les traces effacées par la neige, les cris étouffés sous la glace d'une Islande sombre et fantomatique...
Biographie de l'auteur
Né en Islande en 1961, journaliste et critique de cinéma, Arnaldur Indridason est l'auteur de romans noirs, dont La Cité des Jarres, également en Points.
Dans un jardin sur les hauteurs de Reykjavik, un bébé mâchouille un objet étrange... Un os humain ! Enterré sur cette colline depuis un demi-siècle, le squelette mystérieux livre peu d'indices au commissaire Erlendur. L'enquête remonte jusqu'à la famille qui vivait là pendant la Seconde Guerre mondiale, mettant au jour les traces effacées par la neige, les cris étouffés sous la glace d'une Islande sombre et fantomatique...
Biographie de l'auteur
Né en Islande en 1961, journaliste et critique de cinéma, Arnaldur Indridason est l'auteur de romans noirs, dont La Cité des Jarres, également en Points.
Mon avis :
Mon premier polar Islandais est désormais lu et je l'ai apprécié en fait j'étais sure qu'il me plairait car il rassemblait tout ce que j'aime dans les polars.
Mon premier polar Islandais est désormais lu et je l'ai apprécié en fait j'étais sure qu'il me plairait car il rassemblait tout ce que j'aime dans les polars.
On a ici une enquête via la découverte de ce squelette dans les fondations d'un nouvel immeuble de Reykjavik et l'enquête est rondement menée par le très taciturne Erlendur !
Mais au delà de cette enquête l'auteur ici prend prétexte à une peinture sociale très juste des violences conjugales et en décrit parfaitement les rouages.
En fait ce livre est aussi et surtout selon moi une fine analyse des processus de violence au sein de la famille et de tout ce que cela génère.
C'est saisissant et angoissant, ça vous prends aux tripes.
Cette femme en vert à vraiment souffert on éprouve une immense compassion et on voudrait l'aider ....
Cette femme en vert à vraiment souffert on éprouve une immense compassion et on voudrait l'aider ....
De plus dans cette histoire on suit avec plaisir le commissaire Erlendur qui a aussi un vie familiale privée un peu chaotique et qui souffre de multiples blessures à l'âme qui remontent à son enfance et qui gère tant bien que mal sa vie de père...
Il est également accompagné de deux collègues : Sigurdur Oli un homme un peu macho et Elimborg la femme. Ces deux personnages dont Indridason dresse également de bons portraits sont de bons personnages secondaires de ce livre.
J'ai d'ailleurs bien envie de les retrouver dans d'autres enquêtes pour que leurs portraits s'enrichissent je ne sais pas d'ailleurs si Erlendur aura toujours la même équipe ?
J'aime les personnages récurrents, j'aime les accompagner, ça doit être le "syndrome séries ".
Et en fait je suis surtout curieuse de Erlendur !
Encore un élément en faveur de ce livre je suis fan des histoires qui mélangent l'espace temps et ici c'est le cas.
On remonte à la seconde guerre mondiale (un peu comme dans "Cold Case" où une nouvelle preuve ou témoignages arrivent - ici le squelette - et tout est à nouveau examiné , d'ailleurs ici c'est le cas de le dire car ce sont des archéologues qui extirpent ce corps et c'est aussi long que l'enquête !).
A lire la blogosphère c'est un des livres qui à le plus la côte pour cet auteur islandais !
On remonte à la seconde guerre mondiale (un peu comme dans "Cold Case" où une nouvelle preuve ou témoignages arrivent - ici le squelette - et tout est à nouveau examiné , d'ailleurs ici c'est le cas de le dire car ce sont des archéologues qui extirpent ce corps et c'est aussi long que l'enquête !).
A lire la blogosphère c'est un des livres qui à le plus la côte pour cet auteur islandais !
Mais je continuerais mon chemin avec Elendur ! Me voilà partie pour prononcer des noms à coucher dehors, heureusement que je ne lis pas à haute voix
Bonne lecture à vous !
elle fait très envie ta critique Did !
RépondreSupprimerJe suis certaine que tu aimeras les autres (bon je n'en ai lu que 4) mais ils sont tous sur le même principe passé/présent et mêlent l'Histoire aux enquêtes. Et jusqu'à maintenant, on suit toute l'équipe (Erlendur, Sigurdur Oli et Elinborg)des personnages (surtout Erlendur) qui font la force de cette série!
RépondreSupprimerJe suis contente que tu aies aimé. Erlendur est mon chouchou, j'ai acheté le dernier de la série sitôt sorti ! J'adore l'atmosphère de cette série, incontestablement islandaise. Depuis que j'y suis allée (en Islande), ça m'a donné envie de tout relire, d'ailleurs... :-/
RépondreSupprimerMerciS les filles !
RépondreSupprimerMerci Laeti pour les compliments
Merci aBeiLLe pour les infos sur l'équipe
et Merci Septentria ;-) qui nous fait aussi voyager grâce à son blog en Islande revigorant § !
J'attends donc ton avis sur Hypothermie !
J'en ai lu 5 jusqu'à présent (je louche maintenant sur Hypothermie, le n° 6 en France) et je suis toujours sous le charme. L'équipe ne change pas et au fur et à mesure, on en apprend un peu plus sur eux.
RépondreSupprimerRestling l'avis sur Hypothermie peut se lire chez Septentria (lien sur son commentaire ici même )
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé cette écriture et ce style qui rend ces enquêtes un peu différentes !
Bonsoir, si tu as aimé cette femme en vert, je te conseille aussi le premier (La cité des jarres) et les deux derniers: hiver arctique et hypothermie. Indridason est vraiment un auteur à suivre et à conseiller. Bonne soirée.
RépondreSupprimerJe vais le découvrir un de ces jours!!! :)
RépondreSupprimer@ Phooka : oui et pour ma part lire les autres opus !
RépondreSupprimerDans le dernier Indridason qui est sorti : La rivière noire Erlendur n'est pas là ... c'est Elinborg sa coéquipière qui prends la relève ...Beaucoup de fan s'inquiètent de sa disparition ...
J'ai bien aimé ce roman, bien que je trouve que son auteur lorgne un peu trop du côté du Suédois Mankell. Bon, donc, mais sans réelle originalité, donc pas inoubliable à mes yeux.
RépondreSupprimerBonsoir Nico,
Supprimerde Mankell je n'ai lu que "Les chaussures italiennes" (dans mon dernier billet) qui n'est pas un polar alors je n'ai pas fait le lien ...
Les littératures du Nord se ressemblent peut être dans la mesure où elles s'attachent à une culture.
Je n'ai pas relu du Indridason mais je le ferrais et je lirais des polars de Mankell.
Au plaisir de nos échanges