Les annales du Disque-Monde de Terry Pratchett
Étant lectrice et ouverte à toutes sortes d'univers j'ai plongé dans celui de Terry Pratchett et ses annales du Disque Monde grâce à une amie (merci à elle de savoir communiquer son enthousiasme et toujours ses bons conseils de lecture !).
J'ai à ce jour lu les deux premiers livres de cette série qui en compte pas loin de quarante :
La huitième couleurs
Dans une dimension lointaine et passablement farfelue, un monde se balade à dos de quatre éléphants, eux-mêmes juchés sur la carapace de la Grande Tortue...
Oui, c'est le Disque-monde... Les habitants de la cité d'Ankh-Morpork croyaient avoir tout vu. Et Deuxfleurs avait l'air tellement inoffensif, bonhomme chétif, fidèlement escorté par un Bagage de bois magique déambulant sur une myriade de petites jambes. Tellement inoffensif que le Patricien avait chargé le calamiteux sorcier Rincevent de sa sécurité dans la cité quadrillée par la Guilde des Voleurs et celle des Assassins ; mission périlleuse et qui devait les conduire loin : dans une caverne de dragons ; peut-être jusqu'au Rebord du Disque. Car Deuxfleurs était d'une espèce plus redoutable qu'on ne l'imaginait : c'était un touriste... A la lumière de l'octarine, la huitième couleur, celle de la magie, découvrez l'univers fantastique et cocasse de Terry Pratchett.
Le huitième sortilège
Nous avions quitté le calamiteux sorcier Rincevent en bien mauvaise posture, en train de basculer par-dessus le bord du Monde (qui est plat, comme chacun sait), avec le Bagage et son ahuri propriétaire, le touriste Deux-Fleur...Mais comme Rincevent possède le huitième sortilège, coincé on ne sait comment dans son esprit (et tellement puissant qu'il fait peur à tous les autres sortilèges, ce qui explique pourquoi le sorcier est si inefficace), la Réalité ne peut se permettre de le perdre, et procède à un petit "ajustement"... Rincevent et ses compagnons se retrouvent brusquement perchés dans un arbre, près du centre du Disque... Et les aventures continuent...surtout que la fin du Monde approche !
Les aventures de ces personnages sont d'excellents moments de loufoqueries et de parodies ! Il n'est pas rare qu'à la lecture je me bidonne devant les détournements !
Les magiciens sont souvent des nullos, les héros des vieux édentés ou des hommes au QI d'huitre, et les héroïnes des femmes comme les autres !
L'univers plus noir de la véritable fantasy est détourné pour le plus grand bonheur des lecteurs !
Ces livres sont de vrais petits bonbons aux vertus hallucinogènes où l'Univers est porté par une tortue géante qui supporte des éléphants !
Un petit extrait du deuxième tome :
"A ce point du récit, on se tourne en général vers le dessinateur de couverture pour lui parler longuement de cuir, de cuissardes et de flamberges au vent. Des mots tels que "formes pleines", "rondeurs" voire "air polisson" se glissent dans la narration, jusqu'à ce que l'auteur n'ait plus qu'à prendre un douche froide et aller s'allonger. Ce qui est plutôt ridicule parce qu'une femme qui se décide de vivre de son épée à peu de chance s de ressembler à ce que l'acheteur spécialisé admire sur les couvertures du plus osé des catalogues de lingerie"
Étant lectrice et ouverte à toutes sortes d'univers j'ai plongé dans celui de Terry Pratchett et ses annales du Disque Monde grâce à une amie (merci à elle de savoir communiquer son enthousiasme et toujours ses bons conseils de lecture !).
J'ai à ce jour lu les deux premiers livres de cette série qui en compte pas loin de quarante :
La huitième couleurs
Dans une dimension lointaine et passablement farfelue, un monde se balade à dos de quatre éléphants, eux-mêmes juchés sur la carapace de la Grande Tortue...
Oui, c'est le Disque-monde... Les habitants de la cité d'Ankh-Morpork croyaient avoir tout vu. Et Deuxfleurs avait l'air tellement inoffensif, bonhomme chétif, fidèlement escorté par un Bagage de bois magique déambulant sur une myriade de petites jambes. Tellement inoffensif que le Patricien avait chargé le calamiteux sorcier Rincevent de sa sécurité dans la cité quadrillée par la Guilde des Voleurs et celle des Assassins ; mission périlleuse et qui devait les conduire loin : dans une caverne de dragons ; peut-être jusqu'au Rebord du Disque. Car Deuxfleurs était d'une espèce plus redoutable qu'on ne l'imaginait : c'était un touriste... A la lumière de l'octarine, la huitième couleur, celle de la magie, découvrez l'univers fantastique et cocasse de Terry Pratchett.
Le huitième sortilège
Nous avions quitté le calamiteux sorcier Rincevent en bien mauvaise posture, en train de basculer par-dessus le bord du Monde (qui est plat, comme chacun sait), avec le Bagage et son ahuri propriétaire, le touriste Deux-Fleur...Mais comme Rincevent possède le huitième sortilège, coincé on ne sait comment dans son esprit (et tellement puissant qu'il fait peur à tous les autres sortilèges, ce qui explique pourquoi le sorcier est si inefficace), la Réalité ne peut se permettre de le perdre, et procède à un petit "ajustement"... Rincevent et ses compagnons se retrouvent brusquement perchés dans un arbre, près du centre du Disque... Et les aventures continuent...surtout que la fin du Monde approche !
Les aventures de ces personnages sont d'excellents moments de loufoqueries et de parodies ! Il n'est pas rare qu'à la lecture je me bidonne devant les détournements !
Les magiciens sont souvent des nullos, les héros des vieux édentés ou des hommes au QI d'huitre, et les héroïnes des femmes comme les autres !
L'univers plus noir de la véritable fantasy est détourné pour le plus grand bonheur des lecteurs !
Ces livres sont de vrais petits bonbons aux vertus hallucinogènes où l'Univers est porté par une tortue géante qui supporte des éléphants !
Un petit extrait du deuxième tome :
"A ce point du récit, on se tourne en général vers le dessinateur de couverture pour lui parler longuement de cuir, de cuissardes et de flamberges au vent. Des mots tels que "formes pleines", "rondeurs" voire "air polisson" se glissent dans la narration, jusqu'à ce que l'auteur n'ait plus qu'à prendre un douche froide et aller s'allonger. Ce qui est plutôt ridicule parce qu'une femme qui se décide de vivre de son épée à peu de chance s de ressembler à ce que l'acheteur spécialisé admire sur les couvertures du plus osé des catalogues de lingerie"
Je suis ravie que le monde de Pratchett t'ait plu! mélande de Fantasy et de dérision, c'est effectivement un pur bonheur et tu le décrit parfaitement! Merci Didi!
RépondreSupprimerPhooka mon amie de fantasy et de littérature ;-)
RépondreSupprimerEt de fautes de frappe aussi! J'en rate pas une!!! :))))
RépondreSupprimerC'est ta marque de fabrique cher "osil" comme moi et mes participes passés qui d'ailleurs ne sont pas corrigés par le correcteur ortographique ;-)
RépondreSupprimersympa le clin d'oeil à Pratchett !
RépondreSupprimerqd aux fôôôtes de frappe, mon ami gogole chrome me propose de les corriger !!! lol