Sous le lac gelé, nos fous rires
Nos deux corps emmêlés, nos souvenirs
Hélas c’était naguère
Et tu ne resteras guère
Sous le lac gelé, la détresse
Une infante emmurée
Et tant de sos
Hélas je m’en souviens
La nuit putain, je n’oublie presque rien
Dans la lande infirme
Il faut que tu m’affirmes
Que tu me quittes comme, comme dans les films
Dans la lande informe
Il faut que tu m’informes
Si tu me quittes même, même sans les formes
Noir c’est noir
Comme un goût bizarre
Sous le lac gelé, des lieux dits
Des plaines désolées, quelques tranches de vie
Hélas c’était hier
Mais le passé me jette encore la pierre
Dans ta langue d’infirme
Il faut que tu m’affirmes
Que tu me quittes comme, comme dans les films
Dans ta langue difforme
Il faut que tu m’informes
Si tu me quittes même, même sans les formes
Noir c’est noir
Comme un goût bizarre
So close to the surface
I still fell the cold of the cracking ice
So close to the surface
Slowly sinking down
Losing the light
I sink, sink, sink,
To the black under me
Memories shimmer in the mirror above me
Losing my world and the story of my life
Cutting the rope
Losing all hope
I’m going down
Sous le lac gelé, la vieille France
Des trains de déportés traversant l’isle de France
Encore je m’en souviens
La nuit putain, je n’oublie presque rien
Sous le lac gelé, nos amours
Nos amours écorchés, aussi culte que courtes
Mais le temps sans scrupule
Crache à la gueule des milliers de capsules
Oui le temps sans scrupule
Crache à la gueule des milliers de capsules
Noir c’est noir
Comme un goût bizarre
Noir c’est noir
Comme un goût bizarre
Nos deux corps emmêlés, nos souvenirs
Hélas c’était naguère
Et tu ne resteras guère
Sous le lac gelé, la détresse
Une infante emmurée
Et tant de sos
Hélas je m’en souviens
La nuit putain, je n’oublie presque rien
Dans la lande infirme
Il faut que tu m’affirmes
Que tu me quittes comme, comme dans les films
Dans la lande informe
Il faut que tu m’informes
Si tu me quittes même, même sans les formes
Noir c’est noir
Comme un goût bizarre
Sous le lac gelé, des lieux dits
Des plaines désolées, quelques tranches de vie
Hélas c’était hier
Mais le passé me jette encore la pierre
Dans ta langue d’infirme
Il faut que tu m’affirmes
Que tu me quittes comme, comme dans les films
Dans ta langue difforme
Il faut que tu m’informes
Si tu me quittes même, même sans les formes
Noir c’est noir
Comme un goût bizarre
So close to the surface
I still fell the cold of the cracking ice
So close to the surface
Slowly sinking down
Losing the light
I sink, sink, sink,
To the black under me
Memories shimmer in the mirror above me
Losing my world and the story of my life
Cutting the rope
Losing all hope
I’m going down
Sous le lac gelé, la vieille France
Des trains de déportés traversant l’isle de France
Encore je m’en souviens
La nuit putain, je n’oublie presque rien
Sous le lac gelé, nos amours
Nos amours écorchés, aussi culte que courtes
Mais le temps sans scrupule
Crache à la gueule des milliers de capsules
Oui le temps sans scrupule
Crache à la gueule des milliers de capsules
Noir c’est noir
Comme un goût bizarre
Noir c’est noir
Comme un goût bizarre
Benjamin Biolay
@Didi Lac gelé hiver 2012 |
Noir c'est noir... Mais l'artiste a du talent.
RépondreSupprimerMerci Didi !
Bisous
Coucou Nathanëlle, toi c'est le jaune et moi le noir ;-)
SupprimerOui assurément Biolay est talentueux je l'adore !
Bises et bon dimanche !
Jolies photos.
RépondreSupprimerMerci beaucoup :-) la première est aussi de moi et mis en forme sur un site qui n'existe plus ou je faisais des petits trucs sympas.
SupprimerBises et bonne soirée au plaisir de tes visites chez moi !