samedi 28 janvier 2017

Extermination des cloportes Philippe Ségur


En dehors de sa passion pour sa femme Betty, Don Dechine a un but dans la vie : écrire. Seulement voilà, pas facile d’écrire un roman fracassant quand on est prof de lycée et qu’après les avanies de la journée, il faut encore affronter un voisin pas content, les tracas de la copropriété, le harcèlement fiscal et les PV pour stationnement interdit. Rien de plus normal, pour se détendre, que de consacrer ses soirées à l’intégrale des sept saisons de Soprano. Sauf que ça n’aide pas non plus à trouver la fortune et la gloire littéraire.

Il y aurait bien une solution : tout plaquer pour aller vivre à la campagne. Comme l’explique Don Dechine, il n’y a que dans la nature qu’on peut valablement produire un chef-d’oeuvre. Armés d’une confiance et d’un humour à toute épreuve, Betty et lui vont donc se lancer dans la quête de la maison idéale, tenter de se débarrasser d’un appartement invendable et se perdre dans un monde inconnu et atroce : la jungle impitoyable de l’immobilier.

Une sacrée aventure quand on est un futur génie de la littérature et qu’on se réveille un matin avec un cloporte dans l’oeil ! Source Buchet Chastel

Mon avis : 

Hum ... Comment écrire un avis sans tergiverser ... Bon, je me lance et ce ne sera pas une bonne critique... Sorry

Pourtant avouons, intriguée par ce titre énigmatique j'ai répondu avec élan à l'appel Masse critique particulière de chez Babelio. Je m'étais dit "Pourquoi pas " ! 

Lecture ultra rapide, de ces lectures qui ne laissent pas de traces dans une mémoire de lecteur...

Ni détesté, je l'ai lu entièrement sans difficultés, ni aimé, j'ai trouvé cette histoire un soupçon légère et sans conséquences... 

Les deux personnages de ce couple Betty et Don Déchine sont des personnages sans grand intérêt majeur. Deux professeurs dans leur quotidien banal, outre l'envahissement du champs de vision de Don Déchine par des cloportes. 

Beaucoup de procrastination dans leurs projets respectifs : une thèse et un chef d’œuvre littéraire c'est pas donné à tout le monde.

"Trésor, tu te trompes, j'ai fait. ta thèse, ton avenir, ton métier, tout ça, c'est de la blague."
Elle m'a jeté un regard désorienté. Un bon point pour moi. J'avais capté son attention. J'ai enchainé sans lui laisser le temps de réfléchir. Tout ça, c'est de la blague, parce que demain, toi et moi nous serons morts."
Ça c'était ma fameuse technique du mal par la mal, dite aussi technique de l'anesthésie. Quand j'avais affaire à un désespéré, je créais chez lui un état de choc pour l'insensibiliser. Après ça il oubliait ses petits tracas, ses bobos, son nombril, et on pouvait reprendre avec lui une conversation normale entre personnes sensées. 

Ce couple est en prise avec la gestion du quotidien, ils auraient pu être plus attachants mais ils ne m'ont pas vraiment touchés... 

Certaines scénettes m'ont fait sourire. Le plombier streap teaser, l'agent immobilier, le banquier  et le voisin envahissant dans la gestion d'une colopropriété.

L'auteur Philippe Ségur s'est-il plus ou moins mis en scène ... Peut-être un peu ... 

Il a choisit un bon titre qui a su attirer mon attention, mais attention ce livre ne m'a pas emballé... 

Merci tout de même très sincèrement 
à Babelio et aux Editions Buchet - Chastel !

Quant à vous, si vous vous voulez en savoir plus sur 
" L'extermination des cloportes " 
et bien ouvrez grands vos yeux 
avant qu'ils ne s’éteignent ! 



mercredi 25 janvier 2017

Le détroit du Loup Olivier Truc


Le printemps est synonyme de transhumance pour les éleveurs du Grand Nord. Chaque année moins nombreux, hommes et rennes traversent le détroit du Loup dans l'indifférence des puissants prospecteurs pétroliers. Mais la mort d'un jeune éleveur et celle du maire d'Hammerfest vont attiser la colère des uns et l'appétit des autres. Face à cette flambée de violence, la police des rennes mène l'enquête. Source Le Cercle Points
Mon avis :

Lors du dernier QDP 2016, je suis retournée voir Olivier Truc pour me procurer son livre Le détroit du Loup. 

Didicace QDP 2016

En 2014 j'avais lu Le dernier Lapon dédicacé au QDP 2013. Mon avis ICI




J'avais hâte de retrouver la police des rennes et son duo : Nina et Klemet.

L'enquête qu'ils mènent va encore une fois les obliger à louvoyer entre deux mondes celui des Samis et celui du monde du pétrole et de ces plongeurs en eaux profondes qui vont permettre à cette industries de se développer de façon exponentielle !

Cette fois, l'accent est davantage mis sur Nina, en effet son père est un ancien plongeur en eaux profondes pour les industries pétrolières. Olivier Truc creuse un peu plus sur son histoire avec ce père qui avait disparu de sa vie et dont le parcours est désolant.

Entre traditions et mondialisation, entre respect de la nature et des hommes et exploitation à tout va, le grand Nord est écartelé et les hommes trinquent. Les Samis mais aussi les plongeurs à qui on sacrifie leur santé pour de l'argent... Toujours plus d'argent...

Comme dans le précédent ouvrage l'auteur nous parle de cette dichotomie importante entre ces deux mondes et sur les conséquences humaines de cette exploitation procurant des richesses importantes au détriment d'une société de traditions qui vivaient de la terre et de ce qu'elle offrait.

J'ai été moins captivée que dans Le dernier Lapon, j'ai trouvé que l'auteur peinait un peu dans son intrigue et que celle-ci était un peu tirée par les cheveux à certains moments. Je me suis demandée comment il allait faire pour boucler l'enquête... 

Et d'ailleurs la fin ne m'a pas vraiment convaincue...Beaucoup trop de flou dans cette intrigue...

Certains personnages ont su néanmoins capter mon attention :

Nils Sormi entre autre, un plongeur Sami au fort caractère qui se mettra vite en conflit avec Klemet. Son partenaire de plongée également Tom.

J'ai aimé aussi l'oncle de Klemet, Nils Anta  gardien des traditions musicales qui fût encore une fois une aide précieuse pour cette enquête. 

Juva Sikku le Sami voulant essayer de s'en sortir et se trouvant acculé au pire... 

Anneli la jeune femme ayant perdu son mari Sami noyé dans les détroit du Loup.

Et dans les personnages tordus Tikkanen l'homme tirant les ficelles de la situation des uns et des autres et son carton de fiches digne des renseignements généraux. 

La mère de Nina aussi une femme dure et méchante....

J'ai moins aimé cette histoire là, Olivier Truc mets moins la nature au cœur de celle-ci et l'intrigue est pour moi beaucoup moins réussie que dans son premier livre sur la police des Rennes. 

Cette lecture était raccord avec le climat du grand Nord même si même avec - 14° degrés on est encore des petits joueurs ...



Une plongée en eaux profondes et glaciales vous attends au cœur de ce livre
A vous de voir si vous osez vous y plonger !

@Didi QDP 2016



J'atteins le niveau BURIN avec cette 5ème lecture de plus de 500 pages, 
522 pages exactement dans cette version Points !



dimanche 22 janvier 2017

Au fil de l'eau Juan Diaz Canales




Madrid, aujourd’hui.

Niceto octogénaire passe sa retraite entouré de sa bande de vieux copains, de son fils Roman et de son petit-fils Alvaro. Dans l’Espagne marquée par la crise, le quotidien n’est pas simple. Il devient réellement inquiétant lorsque les amis de Niceto commencent à mourir les uns après les autres, dans des circonstances de plus en plus étranges et violentes…

Quand Niceto disparaît à son tour, c’est une véritable course contre la montre qui démarre pour Roman et Alvaro.
Scénario et dessin Juan Diaz Canales - SOURCE Rue de Sèvres

Mon avis :

J'ai reçu cette BD dans le cadre de la Masse critique du 7 décembre 2016 de chez BABELIO 

Alors dans un premier temps je tiens à remercier :

Babelio et les Éditions "Rue de Sèvres " pour ce cadeau. 

Et je tiens aussi à m'excuser pour le retard quant à l'avis sur ma lecture. Je l'ai fini à temps mais je n'ai pas eu le temps de faire mon billet ici. J'espère que vous ne m'en voudrez pas...


Cette lecture est noire, très noire. L'ambiance n'est pas à la franche rigolade vous voilà avertis !

Tout commence par la découverte d'un vieux monsieur sur une barque. On pourrait croire qu'il est mort de vieillesse mais non ... Il a été assassiné !

Ce vieux monsieur avait un cercle d'amis de vieux messieurs tout comme lui aux parcours différents et accidentés. Peu épargnés par la vie et vivants de petits trafics de vente de produits volés. 

On suit alors d'avantage le parcours de Niceto et de sa famille qui s'insère dans cette histoire avec le fils et le petit fils, Roman et Alvaro. Roman est médecin proche de la retraite et Alvaro fait parti du SAMU social et attends un heureux évènement avec sa femme.

Et puis peu à peu les amis de Niceto meurent dans des circonstances troublantes et Niceto disparait.... Son petit fils et son fils vont le rechercher.

J'ai aimé cette histoire qui parle de la vie et de la mort surtout ... La vie étant reliée à la mort inextricablement. 

Les dessins sont très beaux, dans ce noir et blanc qui colle si bien au thème du livre.

Je ne me suis pas sentie en Espagne par contre ... J'avais l'impression d'une ville française ... Peu de détails me reliant à mon imagerie sur l'Espagne... 

J'ai aimé les planches et le découpage de celle-ci. 

Les cases noires et la case blanche de la fin. J'ai apprécié les planches très oniriques ou/et ou cauchemardesques.



Attention, si les traits des personnages peuvent nous rappeler ceux des Vieux Fourneaux, ces petits vieux là ne vous feront pas marrer ! Ah ça non ... 




Une autre vision de la vieillesse et de la vie. Une vision très pessimiste où la mort rode dans tous les recoins des cases ...

L'auteur a su néanmoins mettre de la poésie dans ses dessins et ne pas refermer cette histoire sur une case noir mais bien blanche ... 

Une petite dédicace en début de livre m'a rassurée sur les sentiments de l'auteur 

Pour Toni et Manolo, preuve que ce qui ressemble le plus à l'immortalité n'est rien qu'un alliage de génétique, d'amour et de souvenirs.  Et pour Teresa, qui rends toute chose belle possible et désirable.  

Au fil de l'eau est une sombre BD que je vous recommande pour savoir ... 
Pour être de ceux qui savent !


" Parce qu'on veut croire que notre vie est un voyage comme celui de l'eau.
Qui ne disparait jamais tout à fait.
Qui trouve toujours le chemin du retour.
Mais un beau jour alors que tu es déjà vieux et que plus rien n'a d'importance, la révélation arrive. Tu sais que ce chemin n'existe pas.
Que la pluie qui te tombe dessus n'est jamais la même. "  

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dimanche 8 janvier 2017

Miel et Vin Myriam Chirousse


Au château, l’enfant « maudit » cause incendies, maladies et accidents mortels autour de lui. Rien ni personne ne lui résiste. Ce bâtard finira pourtant par devenir Charles de l’Eperai, l’héritier en titre, dont le caractère sombre n’est pas sans évoquer le personnage de Heathcliff créé par Emily Brontë dans Les Hauts de Hurlevent.

Non loin de là, une enfant est abandonnée dans la forêt. Recueillie par une famille noble, elle grandit sous le nom de Judith de Monterlant. Les destinées de ces deux êtres se croisent : ils s’attirent irrésistiblement et s’égarent dans les méandres d’une passion dévorante. Judith se marie pourtant avec un autre, et Charles, malgré son rang, prend le parti de la Révolution et du peuple.

1789 est là, le monde bascule et les nobles sont aux abois. Qu’adviendra-t-il de Charles et de Judith ?

Mon avis : 

Une histoire sombre et néanmoins magnifique sous le fond historique de La Révolution Française.

Il y a deux personnages principaux dans cette histoire, un homme et une femme.

Elle, c'est Judith, une enfant trouvée dans les bois et recueillie par une famille noble du Périgord. Lui, c'est Charles il a grandi dans une famille Noble les De l'Eperai.

Leurs destins vont se mêler à tous les deux pour le meilleur et le pire et surtout le pire ....

Non, ils ne se marieront pas mais ils vont se séduire, se désirer, se haïr, se séparer et peut être enfin s'aimer...

Ma lecture a fait la jonction entre 2016 et 2017. Je pense qu'elle résonnera en moi longtemps.

Je me rends compte que ce que j'aime à chaque fois dans les livres c'est quand des histoires individuelles s'inscrivent dans la grande Histoire. La fiction mêlée à de la documentation ! 

Ici la Révolution Française est la toile de fond de l'histoire de ces deux personnages et leurs familles. Nous sommes ici au cœur de l'histoire de France , au cœur de sa grande Révolution. 

Aussi bien à Paris en direct de La Bastille mais aussi en province dans le Périgord plus précisément. 

Myriam Chirousse nous donne là une belle leçon d'histoire et nous place au centre des évènements de la Révolution, grâce à Charles et Judith qui évoluent dans ces évènements. 

L'histoire des personnages est rocambolesque à souhait ... Cet amour contrarié par bien des obstacles (dont un m'a il est vrai un peu contrarié...) va faire lui aussi sa révolution...

Cette attirance inexorable nous tient en haleine, j'avoue que le beau brun ténébreux qu'est Charles m'a attiré ... diablement. 

Les scènes d'amour sont délicieusement décrites.  D'une sensualité brute et sauvage....

" Il y eu un désordre , une sorte de lutte dans laquelle il lutta seul. Le silence l'étourdit et la poussière du plancher lui piqua les yeux. Il s' agrippa aux hanches qui l'accueillaient et ne fut plus que moitié conscient du ravage qu'il accomplit. Il fut sans doute brutal et se reprocherait souvent par la suite la fureur excessive de cette première fois, même si Judith, elle, ne s'en souviendrait pas de cette façon - peut-être parce que cette violence-là lui prodigua alors, sur ce plancher délabré et poudreux, une exaltation nouvelle, une jouissance aussi barbare qu'enchanteresse - lui qui n'avait connu jusque-là que des voluptés distantes, des ébats morcelés, des caresses rapides où les peaux se frôlent à peine, où les bouches ne se goûtent pas, des créatures trop maquillées, des sourires singés, des rires outranciers, la vulgarité pour feindre l'intimité, l'intérêt pour feindre la tendresse, des gouttes d'huile parfumée pour remplacer le désir, quelques pièces d'or pour faire oublier la douleur de respirer seul dans le noir, lui qui n'avait eu droit qu'à des ongles, toujours à la limite de le griffer, des mains prêtes à le voler, des accointances ennemies, des ivresses frelatées comme l'alcool des contrebandiers, et pas de nudité - jamais -, lui qui n'enlevait jamais sa chemise, lui qui ne défaisait que le haut de son pantalon, qui ne voulait pas exposer sa peau nue, qui ne voulait pas se sentir à vif - à nu - et qui , ce jour là encore, dans la maison su pendu, était resté presque tout habillé sur son corps nu à elle, comme si la fine étoffe d'une chemise pouvait le protéger comme une armure, lui qui mourait de faim, qui voulait l'enfer parce que l'enfer était en lui, il goûta soudain au délice d'un corps fait pour lui, à lui tout offert, à lui entièrement donné, terre où devenir roi - régner en Judith ! - où les malédictions se muaient en extases, il avait le sang en feu et ses reins n'en pouvaient plus. Il avait trouvé la porte du paradis. " P126 - 127

Les personnages secondaires sont tous intéressants, je mets des mentions spéciales pour :

- Philippe de Marbourg le mari-ami de Judith

- Guillaume de Salerac, l'oncle de Judith celui qui l'a trouvé dans la forêt, un homme scientifique un peu fou.

- Gaétan Lepailler, le libraire de Sarlat qui deviendra la père de cœur de Judith. Et Mariam sa femme marabout.

- Blanche l'amie de Judith qui sera toujours là.
 " L'amitié est un lien curieux. Il se tisse parfois avec la lenteur des dentelles et parfois surgit comme une étoile filante. Ce soir là, Blanche et Judith reconnurent tout à coup qu'elles étaient des amies d'enfance. Si la providence le voulait elles le resteraient longtemps. "

- Antoine le fils de Judith et de Charles... L'enfant aux beaux yeux noirs.

Chair de sa chair
" Ce fût une autre révolution. Les nuits s'enfuirent à l'envers et le temps cessa de s'écouler. En chemise de nuit, Judith contemplait ce paquet de chair endormi au creux de son grand lit. Elle ne regrettait plus la sauvageonne aux bras égratignés, ni l'aventurière qui se cachait sous des peux de moutons pour s'envoler dans les airs, ni la jeune fille rageuse avide de baisers, ni la promeneuse qui respirait les odeurs de Paris... Elle ne regrettait plus rien de sa vie passée, car le plus beau était là, endormi : Antoine était né. " P 201


Un roman avec de l'histoire, de l'amour, de l'amitié et de folles destinées.  
Un roman où chacun fait sa Révolution.

Un roman que j'ai apprécié énormément 
et que je vous invite à découvrir vous aussi.


tous les livres sur Babelio.com

Bonne lecture au cœur révolutionnaire  !



un autre extrait parce que c'est tellement beau 


" Charles dévora son doigts et dévora ses lèvres. Ils tombèrent sur le lit et se regardèrent dans l'ombre au clair de lune en reprenant leur souffle, incrédules. Ô mon amour, ma folie dévorante... Les tambourins s'arrêtèrent. Les flûtes se turent. L'obscurité se fit lente. Ils se dénudèrent comme on se berce, se caressèrent comme on se console d'un chagrin trop long et s'enlacèrent en frémissant. 
Alors il y eut de nouveau des fruits mûrs sur les branches, du pain sur les tables et des poissons dans les rivières, il y eut des granges pleines et des villages fleuris, des jardins embaumés, des amis réunis autour des tables, des champs moissonnés et du vin plein les carafes, des enfants galopant sous le soleil, des cascades fraîches, des nuits d'été, des feux paisibles dans les cheminées, des regards de miel, la joie de vivre, la paix et des lits profonds pour s'aimer. " P 266
Merci tout particulièrement à deux blogueuses qui m'ont inspirées cette lecture


et 


John William Waterhouse - huile sur toile - 38 x 83 cm

" Doux été "

lundi 2 janvier 2017

Les plus beaux souvenirs de mes lectures 2016

Petit bilan sans prétentions de mes lectures 2016.

Ayant commencé un billet récapitulatif de toutes mes lectures, il m'a semblé tout à coup trop long de reprendre une à une mes lectures... Et en même temps bien envie de vous parler de mes lectures de cette année 2016 !

Présentation générale de mes lectures, un CLIC sur les titres vers mes billets plus complets si vous le souhaitez !

Et comme Blogspot ne fait plus les listes sur le côté avec le lien ça peut vous aider... : 



Un fait marquant pour cette lecture : 

L'équipe de rêve des blogueurs pour les matchs littéraires 
de la rentrée chez Price Minister



Un fait marquant pour cette lecture :
 
Un partenariat particulier chez Babelio

Un fait marquant pour cette lecture : 
Le travail de qualité des Éditions Futuropolis



Un fait marquant pour cette lecture : 

Bonne action annuelle ;-) 
je remets ça tout bientôt en 2017

 

Un fait marquant pour cette lecture : 

Une envie de retrouver Irving dans ses premiers livres 





Un fait marquant pour cette lecture : 

Trop drôle et les BD ce sont aussi des emprunts CDI 

 
 

Un fait marquant pour cette lecture : 

 Mon magazine Géo qui parle aussi de la communauté



Un fait marquant pour cette lecture : 

Le Quai des Polars avec ma grande sœur et des dédicaces à l'une et l'autre !  

 


Un fait marquant pour cette lecture : 

Rencontrer l'auteur en pleine lecture  au QDP 2016

et adorer cette épopée sauvage !

 

10- Arrêtez-moi là de Ian Levison ♥♥♥

Un fait marquant pour cette lecture : 

Livre non chroniqué pourtant un bon livre et dédicacer au pseudo de "Dédé" (because mon accent et ma nullité en anglais....) ... 



Un fait marquant pour cette lecture : 

Une BD qui m'inquiétait un peu et une bonne surprise toujours Futuropolis !

 

Un fait marquant pour cette lecture : 

Un emprunt sympathique  



Un fait marquant pour cette lecture : 

Une masse critique Babelio particulière particulièrement appréciée ♥ 
Meilleure pour moi que Cartel ....

 



Un fait marquant pour cette lecture : 

La découverte d'une plume que j'ai appréciée et une Didicace 
à la fête du livre de Saint-Étienne


 

Un fait marquant pour cette lecture : 

Découvrir que Bernard Ollivier est malade et m'inquiéter de sa santé...
J'espère que vous allez bien !
 


Un fait marquant pour cette lecture : 

Ma BD de l'année 2016 ♥
Des dessins délicats une histoire douce !

 


Un fait marquant pour cette lecture : 

Rire et s'émouvoir et retrouver le talent de Jean-Claude Mourlevat ! 
En compagnie de mon Bounty ♥ mon petit chat trop tôt disparu...



Un fait marquant pour cette lecture : 

Pleurer sur la plage en Corse



Un fait marquant pour cette lecture : 

Avoir envie de sauter des pages et vivre la canicule en lisant ce livre sur la Sibérie... 



Un fait marquant pour cette lecture : 

Suffoquer lors d'une des scènes 
et avoir mon record de " J'apprécie " sur BABELIO : 52 !!!!!



tous les livres sur Babelio.com

Pour ma Meilleure Lecture de l'année 2016 !!!


  
Un fait marquant pour cette lecture : 

Apprécier un classique énormément et me dire que j'en ai beaucoup à découvrir encore !



Un fait marquant pour cette lecture : 

Avoir un mal fou avec la violence, les violences de ce livre ... 
Considéré pourtant comme le summum par les adeptes du genre...
Désolée Babelio ...


 
Un fait marquant pour cette lecture : 

La découverte de l'auteure chouchou de blogueurs que j'apprécie : 
que je suis bien volontiers dans ces découvertes et coups de cœur. 

 Et admirer Mathilde l'héroïne forte de cette histoire.





Un fait marquant pour cette lecture : 

Retrouver Erlendur et me dire que je l'aime bien ce gars là !
Il m'en reste beaucoup à lire ♥
Didicacé au QDP 2016


25 - Les carnets de Cerise BD ♥♥♥Tome 1, 2 et 3

Un fait marquant pour cette lecture : 

Non chroniquées, de belles lectures et de beaux dessins 

 
26 - L'échappée belle d'Anna Galvada ♥♥

Un fait marquant pour cette lecture : 

Livre non chroniqué mais un petit avis sur Babelio 




Un fait marquant pour cette lecture : 

Le souvenir de magnifiques tableaux à Orsay notamment et agacé par le propos très subjectif de l'auteur...



Un fait marquant pour cette lecture : 

J'ai prêté mon livre à toutes mes amies de train  avec qui je lis 
mais aussi avec qui je discute !



Un fait marquant pour cette lecture : 

Un livre gagné chez Dup et Phooka ... En 2011 ... 
Comme quoi il y a des pépites dans ma PAL 

Dans mon top trois des 5  ♥
 

Un fait marquant pour cette lecture : 

Mon tableau dans ma chambre que j'admire toujours 


Un fait marquant pour cette lecture : 

Un prêt de mon ami Tof ... Alors difficile de dire que j'ai moyennement aimé...
Merci tout de même :-) cher ami !