En littérature, une épigraphe est une phrase en prose ou en vers placée en tête d'un livre, d'un ouvrage ou d'un chapitre, pour en annoncer ou résumer le contenu, ou pour éclairer sur les intentions de l'auteur. On utilise parfois abusivement le terme « exergue ».
En faisant des recherches sur le net j'ai trouvé un super site :
"Ce site tente de recueillir ces phrases posées en épigraphe par les auteurs publiés en français. Je crois qu'il n'existe encore aucune collection ni dictionnaire de ce type de citations, que ce soit sur Internet ou en version papier.Vous pouvez effectuer une recherche sur un ou plusieurs mots. Le moteur vous donnera toutes les épigraphes contenant ces mots."
On peut également contribuer au site en proposant des épigraphes !
Je vous parle de ça, car à l'occasion des 30 ans de l'anniversaire de la mort de Romain Gary, j'ai repensé à l'épigraphe de son livre "La vie devant soi" que j'aime particulièrement :
" Ils ont dit : " Tu es devenu fou à cause de Celui que tu aimes ".
J'ai dit : " La saveur de la vie n'est que pour les fous. "
Yâfi'î, Raoudh al rayâhin
Yâfi'î, Raoudh al rayâhin
Et vous, quelles sont les épigraphes
qui vous ont marquées ?
J'accompagne mon billet de la chanson du dernier album de Cali
"L'amour fou" et j'en profite pour contribuer à
la Radio des blogueurs saison 2 chez Leiloona !
"L'amour fou" et j'en profite pour contribuer à
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Découvrez la playlist L'amour fou Cali avec Cali
Paroles Cali - L'Amour Fou
Je dois enlacer, je dois embrasser
Même vite, même dans le noir
Toujours si difficile de trouver
Un autre noyé, un autre désespoir
Même vite, même dans le noir
Toujours si difficile de trouver
Un autre noyé, un autre désespoir
N'y a-t-il donc personne qui ait besoin de moi
De ma chaleur
De me serrer trop fort
De me lécher les joues
De me lécher les lèvres
De me lécher la peau
De m'aimer à la mort
De ma chaleur
De me serrer trop fort
De me lécher les joues
De me lécher les lèvres
De me lécher la peau
De m'aimer à la mort
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
Ne vit sans l'amour fou
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
J'ai besoin de tenir
Et couver une main
D’embrasser des paupières
Sans amour je suis rien
Je cherche une solitude
M'étouffer dans des bras
J'ai besoin de brûler
De vivre une dernière fois
Et couver une main
D’embrasser des paupières
Sans amour je suis rien
Je cherche une solitude
M'étouffer dans des bras
J'ai besoin de brûler
De vivre une dernière fois
Si je n'ai plus droit à tout ça
Abattez-moi
Abattez-moi comme un chien
Si je n'ai plus droit à tout ça
Abattez-moi
Abattez-moi comme un chien
Abattez-moi
Abattez-moi comme un chien
Si je n'ai plus droit à tout ça
Abattez-moi
Abattez-moi comme un chien
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
Ne vit sans l'amour fou
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
Au fond d'un cinéma
A l'arrière d'une voiture
Mon cœur doit battre, battre, battre
Suis-je le seul noyé
Le seul désespéré
Je veux tout, tout, tout
Recommencer
A l'arrière d'une voiture
Mon cœur doit battre, battre, battre
Suis-je le seul noyé
Le seul désespéré
Je veux tout, tout, tout
Recommencer
Connaître à nouveau la peur des tout débuts
Au tout début, oh c'était bien
Si je n'ai plus droit à tout ça
Abattez-moi
Abattez-moi comme un chien
Au tout début, oh c'était bien
Si je n'ai plus droit à tout ça
Abattez-moi
Abattez-moi comme un chien
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
Ne vit sans l'amour fou
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
J'ai aimé le sourire que tu portais
Quand tu venais me voir à la sauvette
Tu te souviens, dis
Entre deux portes, entre deux mensonges
Tu te souviens, dis
Un homme te vouait l'amour désespéré
Et puis un autre, pour une fois j'étais l'autre
Tu te souviens, dis
J'ai aimé la jeune fille qui nous tenait la main
Tu te souviens, dis
Tout en haut de nos 16 ans
Tout en haut de Fillols
Elle attendait le baiser de ses amoureux
Et sous son kilt trop court
Ses fesses qui hurlaient
Comme un cadeau de dieu
Et puis toutes ces promesses
A toi, à moi, à tous les deux
Tu te souviens, dis
Quand tu venais me voir à la sauvette
Tu te souviens, dis
Entre deux portes, entre deux mensonges
Tu te souviens, dis
Un homme te vouait l'amour désespéré
Et puis un autre, pour une fois j'étais l'autre
Tu te souviens, dis
J'ai aimé la jeune fille qui nous tenait la main
Tu te souviens, dis
Tout en haut de nos 16 ans
Tout en haut de Fillols
Elle attendait le baiser de ses amoureux
Et sous son kilt trop court
Ses fesses qui hurlaient
Comme un cadeau de dieu
Et puis toutes ces promesses
A toi, à moi, à tous les deux
Tu te souviens, dis
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
Ne vit sans l'amour fou
Personne, personne, personne
Ne vit sans l'amour fou
Une poésie très passionné et fougueux, très sensuel, j'adore ça.
RépondreSupprimer@ Leovi : merci de ta visite chez moi :-)
RépondreSupprimerCali le chanteur est un vrai poète passionné ses textes sont toujours très beaux !Et le chanteur est vibrant et passionné aussi et en concert il est époustouflant d'énergie !
J'ai fait chou blanc avec ce billet....
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas ! J'aime ce titre bien rythmé ! :)
RépondreSupprimerSinon voici une citation qui ouvre un roman, citation qui me hante :
RépondreSupprimerIl y a toujours quelque chose d'absent qui me tourmente. (Camille Claudel.)
En matière d'exergues, je me souviens que Frédéric Beigbeder en a mis plusieurs, une belle charretée même, au début de "Windows on the world".
RépondreSupprimerAh merci les amis pour vos participations. Il faut dire que mon billet est un peu épars ... d'une épigraphe à une chanson ...
RépondreSupprimer@ Leiloona : merci d'avoir intégré la chanson de Cali à ta radio des blogueurs saison 2 (j'en ai profité pour rajouter ton beau logo )
Ce titre est issu du dernier album de Cali !
Pour la citation c'est sur quel livre qu'elle se trouve ?
Sinon l'absence est toujours très présente en quelque sorte ...
Bises Leiloona bonne soirée
@ DF : oui alors je n'ai pas trop compris la subtile différence entre une épigraphe et une exergues... Et dans le livre de Beigbeder (que je n'ai pas ...enfin pas celui-là) c'est laquelle qui t'a marquée ?
@ DF : j'ai retrouvé les exergues de Beigbeder elle sont recensées là : http://www.epigraphe.org/?auteur=440#a440
RépondreSupprimerChoisi par Christophe Malavoy pour "La brûlure du jour", cette phrase de St Exupéry :"Sous la brûlure du jour, marcher vers la nuit et sous la glace des étoiles nues, souhaiter la brûlure du jour." Nous marchons toujours vers ce qui nous manque. S'arrêter serait mourir un peu, en tout cas, s'immobiliser dans le connu au lieu d'aller vers le neuf.
RépondreSupprimerBises du mercredi Didi !
@ Lily : merci de ta contribution je n'ai jamais lu Christophe Malavoy ... Quant à Saint-Exupéry je n'ai pas lu le livre avec cette très belle citation !
RépondreSupprimerMerci dès que j'ai plus de temps j'intégrerais vos épigraphe dans mon billet !
Bon mercredi à toi Lily !
La citation est extraite de "la peine du menuisier". :)
RépondreSupprimer@ Leilona : merci pour cette précision et c'est là chez toi
RépondreSupprimerhttp://leiloona.canalblog.com/archives/2009/10/30/15612252.html?t=1292437625444#c39237591
J'avoue que connaissant l'existence de mot épigraphe, je n'aurais pas été capable d'en donner le sens exact. Merci Didi j'aime les mots pas les chiffres. Bises.
RépondreSupprimer@ Gérard : moi aussi je suis plus littéraire que matheuse et c'est plus sympa ;-)
RépondreSupprimerBises Gérard !
J'aime bien aussi les épigraphes dont la dernière trouvée dans "Suite(s) impériale(s) de Bret Easton Ellis: "Pas de piège plus mortel que celui qu'on tend à soi-même". Raymond Chandler (The Long Goodbye)
RépondreSupprimerou encore celle de Stendhal dans "Le Rouge et le Noir": "La vérité, l'âpre vérité" (Parole de Danton)
Quand je commence, j'ai du mal à m'arrêter: désolée! :)
@ Mango : pas grave tu n'as vraiment pas à être désolée et surtout merci pour ces deux épigraphes très "âpres"
RépondreSupprimerJe compte faire un billet contenant vos épigraphes proposées dès que j'aurais fait mes cadeaux de Noël :-O !
Bises Mango
"J'ai écrit ce livre parce que j'avais envie de le lire et que je ne l'ai pas trouvé en librairie." (Epigraphe de André Langaney pour "le sauvage central") :D
RépondreSupprimer@ Pagenas : Très drôle cette épigraphe qui dit que l'on n'est jamais mieux servi que par soi même :-)
RépondreSupprimerMerci Pagenas je ne connais pas ni l'auteur ni son livre à noter alors !
@ bientôt !
Aucun souvenir d'une épigraphe quelconque ! Je les remarque sur le coup, les apprécies et les oublie aussi net !
RépondreSupprimer@ Géraldine : oui il faut vraiment qu'elle nous marque pour la retenir cette épigraphe ...
RépondreSupprimerPeut être celle de ton dernier coup de cœur ? Chaque femme est un roman de Alexandre Jardin ?
Merci de ta visite chez moi !
J’ai cherché qui était Yafi i, je n’ai rien trouvé à son sujet..
RépondreSupprimerBonsoir,
Supprimerj'ai cherché qui vous étiez, je n'ai pas trouvé ...